Ce podcast présente des informations détaillées sur les alternatives à la chirurgie de fusion vertébrale (arthrodèse), en se concentrant sur les options qui préservent le mouvement […]
Alternatives à la fusion – La chirurgie du rachis sans arthrodèse
Pourquoi chercher à éviter la fusion? Le vrai coût de l'immobilité
Pendant des décennies, la fusion vertébrale, ou arthrodèse, a été la solution chirurgicale de référence pour de nombreuses pathologies du dos : discopathies avancées, instabilités, glissements de vertèbres (spondylolisthésis)… Le principe est logique : si un segment de votre colonne est instable et douloureux, le bloquer devrait résoudre le problème. Et dans de nombreux cas, l'arthrodèse rend effectivement de grands services en soulageant la douleur. Mais ce soulagement a un coût, un coût mécanique et fonctionnel qui n'est pas toujours anodin.
Le problème fondamental de la fusion est qu'elle va à l'encontre de la nature même de votre colonne vertébrale, qui est conçue pour bouger. En soudant deux vertèbres ensemble, on crée un bloc rigide qui supprime définitivement toute mobilité à cet étage. Cette rigidité, si elle stabilise le segment malade, déclenche une réaction en chaîne qui peut avoir des conséquences à long terme. C'est pourquoi la chirurgie spinale moderne s'oriente de plus en plus vers une nouvelle philosophie : préserver le mouvement chaque fois que c'est possible. Comprendre les inconvénients de la fusion est la première étape pour saisir la révolution que représentent les alternatives sans arthrodèse.
Les 3 inconvénients majeurs de la fusion vertébrale
La cascade des problèmes adjacents : C'est le risque le plus connu et le plus documenté. Lorsque vous bloquez un segment de votre colonne, les forces de mouvement (flexion, torsion, compression) qu'il absorbait auparavant ne disparaissent pas. Elles sont reportées sur les disques et les articulations situés juste au-dessus et juste en dessous de la zone fusionnée. Ces segments « voisins » se retrouvent alors surchargés de travail, ce qui accélère leur propre usure. C'est ce qu'on appelle la maladie ou la dégénérescence du segment adjacent. Concrètement, cela peut signifier l'apparition de nouvelles douleurs, d'une nouvelle hernie ou d'une nouvelle instabilité quelques années après la première opération, menant parfois à la nécessité d'étendre la fusion. C'est un cercle vicieux que les alternatives visent à briser.
Le risque de pseudarthrose (échec de la fusion) : La fusion n'est pas un succès garanti. L'objectif est que l'os pousse et crée un pont solide entre les vertèbres. Mais parfois, cette consolidation osseuse ne se fait pas correctement. C'est la pseudarthrose. Malgré la présence des vis et des tiges, le segment reste mobile et douloureux. Le taux d'échec de la fusion n'est pas négligeable, surtout dans les fusions sur plusieurs niveaux, et peut atteindre des pourcentages significatifs. Une pseudarthrose est souvent synonyme de douleurs persistantes et peut nécessiter une reprise chirurgicale complexe pour tenter de refaire la fusion.
La perte de fonction et de qualité de vie : Au-delà des risques mécaniques, bloquer un ou plusieurs segments de sa colonne a un impact fonctionnel direct. Pour le patient, cela peut se traduire par une raideur, une difficulté à se pencher pour mettre ses chaussures, à tourner la tête pour conduire, ou à pratiquer des activités sportives qui demandent de la souplesse. Pour une personne jeune ou active, cette perte de mobilité peut être un véritable frein au quotidien et une source de frustration permanente.
Face à ces constats, une question s'est imposée aux chirurgiens et aux ingénieurs : comment stabiliser la colonne et soulager la douleur, SANS sacrifier le mouvement? La réponse se trouve dans les alternatives innovantes à la fusion.
Les alternatives qui préservent le mouvement : Une révolution pour votre dos
La chirurgie du rachis a connu sa plus grande révolution avec le développement d'implants intelligents conçus non pas pour bloquer, mais pour restaurer une fonction. Plutôt que de « verrouiller » deux vertèbres, l'idée est de remplacer uniquement l'élément défaillant par un dispositif qui stabilise tout en conservant une flexibilité contrôlée. Voici les principales options disponibles en France, qui offrent une solution sur mesure pour de nombreux cas qui, autrement, se solderaient par une fusion.
1. La Prothèse Discale (Arthroplastie) – Restaurer, pas bloquer
C'est l'alternative la plus connue et la plus éprouvée. Le principe est simple : on retire le disque intervertébral usé et on le remplace par une prothèse articulée. C'est exactement la même philosophie que pour une prothèse de hanche ou de genou.
Indications : L'arthroplastie est une excellente solution pour les discopathies dégénératives sur un ou deux niveaux, que ce soit au niveau lombaire ou cervical. Elle est particulièrement indiquée chez les patients relativement jeunes (généralement moins de 60 ans) qui ont une bonne qualité osseuse et peu d'arthrose sur les articulations postérieures.
Avantages : Les bénéfices sont multiples. La mobilité naturelle du segment est préservée, ce qui permet de conserver une colonne souple. La douleur est durablement soulagée par le retrait du disque malade et la restauration de la hauteur. En maintenant le mouvement, on évite de surcharger les disques voisins, réduisant ainsi le risque de cascade dégénérative. De plus, l'intervention ne nécessite pas de greffe osseuse, éliminant les risques liés au prélèvement ou à la non-consolidation. Des modèles de prothèses comme la LP-ESP® pour le rachis lombaire ou la ProDisc-C® pour le rachis cervical bénéficient aujourd'hui de plus de 15 ans de recul clinique, avec d'excellents résultats.
Sécurité : Un point crucial et rassurant est la réversibilité de la stratégie. En cas d'échec (très rare) ou d'évolution de la maladie des décennies plus tard, il est toujours possible de retirer la prothèse et de réaliser une fusion. L'arthroplastie ne ferme aucune porte pour l'avenir.
Cette technique élégante et minimalement invasive est une alternative remarquable pour certains types de douleurs lombaires.
Principe : Il s'agit d'une petite cale souple, fabriquée en silicone de grade médical, que le chirurgien insère entre deux apophyses épineuses (les petites pointes osseuses que l'on peut sentir en touchant son dos). L'implant agit comme un amortisseur dynamique. Il limite l'écrasement du disque et ouvre l'espace pour les nerfs lorsque vous vous penchez en arrière, tout en permettant aux vertèbres de bouger normalement en flexion et en rotation.
Indications : Il est particulièrement indiqué pour les lombalgies liées à une dégénérescence discale modérée ou une sténose légère, où le principal problème est la douleur en position debout ou à la marche.
Avantages : Ses atouts sont considérables. La technique de pose est très peu invasive, réalisée par une courte incision d'environ 4 cm, et dure souvent moins de 30 minutes. Il n'y a pas de destruction anatomique : on ne retire ni le disque, ni l'os. La récupération est donc extrêmement rapide. Mais son plus grand avantage est sa totale réversibilité. Si, pour une raison ou une autre, l'implant ne convient plus ou si la pathologie évolue, il peut être retiré très facilement, sans laisser de séquelle, permettant d'envisager n'importe quelle autre option chirurgicale. C'est une solution idéale pour les patients plus jeunes qui souhaitent une solution efficace mais la moins définitive possible.
3. La Stabilisation Dynamique Postérieure TOPS™ – La solution robuste sans fusion
Le système TOPS™ est une prothèse articulée sophistiquée qui s'adresse à des cas plus complexes, qui nécessiteraient habituellement une fusion étendue.
Principe : Après une chirurgie de décompression où le chirurgien retire les éléments osseux qui compriment les nerfs (laminectomie), au lieu de poser des vis et des tiges pour tout bloquer, il implante le système TOPS™. Ce dispositif mécanique remplace la fonction des articulations postérieures et stabilise la colonne, mais grâce à un mécanisme interne complexe, il préserve le mouvement sur 6 degrés de liberté. Il guide les mouvements normaux et bloque seulement les mouvements extrêmes ou anormaux.
Avantages : Les études cliniques comparant le TOPS™ à la fusion dans cette indication ont montré un taux de succès clinique supérieur pour le TOPS™. Il n'y a aucun risque de pseudarthrose, puisqu'on ne cherche pas à faire fusionner l'os. Il permet un excellent maintien de l'alignement de la colonne. Et comme les autres alternatives, une conversion future en fusion reste une possibilité simple si elle s'avérait nécessaire. Bien que la chirurgie soit techniquement exigeante, elle est devenue une procédure de routine pour nos chirurgiens partenaires experts.
Tableau 1 : Comparatif Fusion vs. Alternatives – Lequel choisir?
Quel implant pour quelle pathologie? Un guide d'orientation
Si vous avez moins de 60 ans, une douleur venant d'un seul disque usé (discopathie) sans arthrose sévère : La Prothèse Discale est probablement la meilleure option pour vous.
Si vous avez une douleur lombaire quand vous marchez ou restez debout, liée à une sténose légère ou un disque modérément usé : L'Implant Interépineux IntraSPINE® est une excellente solution minimalement invasive et réversible.
Si vous avez une instabilité majeure, une déformation sévère ou une pathologie sur plusieurs niveaux : La Fusion (Arthrodèse) reste la solution la plus sûre et la plus indiquée.
Un appel à l'innovation : L'expertise française à votre service
Les alternatives à la fusion représentent une évolution majeure et nécessaire en chirurgie du rachis. Comme le souligne le Dr Steven DeLuca, spécialiste américain du rachis, à propos du système TOPS™ : « La nouveauté du système TOPS™, c'est que, comme pour la prothèse discale cervicale, il préserve le mouvement et donne des résultats cliniques exceptionnels. Pour les patients avec sténose lombaire et spondylolisthésis, on peut éviter une fusion ».
Ce principe de « préserver plutôt que de sacrifier » est au cœur de la pratique de nos partenaires en France. Ils ne sont pas seulement des utilisateurs de ces technologies, ils en sont les pionniers et les leaders mondiaux.
La clinique du Pré, au Mans, détient la plus grande expérience mondiale sur la prothèse lombaire LP-ESP, avec plus de 1 500 patients opérés sur 15 ans.
La clinique Oréliance, à Orléans, a traité plus de 5 000 patients avec l'implant IntraSPINE® en 15 ans, ce qui constitue un record mondial pour cette technique.
Ces chiffres ne sont pas anecdotiques. Ils témoignent d'une expertise et d'un volume d'activité inégalés, qui sont des gages de sécurité et de qualité pour vous. C'est une expertise que vous ne trouverez pas au Québec, où plusieurs de ces dispositifs ne sont tout simplement pas offerts. De nombreux Québécois viennent nous voir parce que l'intervention dont ils ont besoin n'est pas disponible chez eux. C'est le cas du système TOPS™, qui a reçu l'approbation de la FDA aux États-Unis mais n'est pas encore pratiqué au Canada. Plutôt que de subir une fusion par défaut, vous avez la possibilité, en France, de bénéficier d'une chirurgie véritablement personnalisée qui préserve au maximum votre anatomie et votre fonction.
Fusion par défaut pour de nombreuses pathologies complexes.
Préservation du mouvement chaque fois que possible.
Options disponibles
Éventail limité, certaines technologies non disponibles.
Accès à toutes les alternatives modernes (Prothèse, IntraSPINE®, TOPS™…).
Décision
Souvent dictée par la disponibilité de la technique.
Basée sur une analyse fine du cas pour choisir la meilleure option pour le patient.
Résultat pour le patient
Risque de subir une fusion alors qu'une alternative existait.
Bénéficier de la solution la moins invasive et la plus fonctionnelle possible.
Prenez la bonne décision : Votre mobilité est précieuse
Tout traitement chirurgical comporte des avantages et des inconvénients. Notre rôle, en tant que conseillers experts, est de vous informer de manière transparente, complète et honnête. Si, après une analyse approfondie de votre dossier, il s'avère qu'une fusion est réellement la meilleure et la plus sûre des options pour vous, nous vous le dirons sans détour.
Mais si vous êtes un bon candidat pour éviter l'arthrodèse grâce à l'une de ces alternatives innovantes, nous mettrons tout en œuvre pour que vous puissiez y avoir accès. Ne laissez personne vous dire que la fusion est votre seule et unique option sans avoir exploré toutes les possibilités. Les progrès de la science vous offrent de nouvelles chances de retrouver une vie normale, sans douleur et sans raideur.
Vos prochaines étapes vers une chirurgie sans fusion
Étape 1 : Demandez une évaluation personnalisée. Envoyez-nous votre dossier médical complet (imagerie et rapports).
Étape 2 : Recevez un avis d'expert. Nos chirurgiens partenaires analyseront votre cas et détermineront si vous êtes un bon candidat pour une alternative à la fusion.
Étape 3 : Comprenez vos options. Nous vous fournirons un compte-rendu clair des options possibles (fusion ou non-fusion), avec les avantages et les inconvénients de chaque approche pour votre situation spécifique.
Étape 4 : Prenez une décision éclairée. Armé de toutes les informations, vous pourrez prendre la meilleure décision pour votre santé et votre avenir.
Ne renoncez pas à votre mobilité sans explorer ces alternatives! Saisissez la chance que les progrès de la science vous offrent.
Vos Questions les Plus Fréquentes (FAQ)
Chirurgie - Motion
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec système TOPS™ ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Grâce à prothèse CP-ESP®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Grâce à implant B-Dyn®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Chez les patients souffrant de hernie discale avec segment mobile, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Chez les patients souffrant de hernie discale avec segment mobile, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
La chirurgie Motion avec système TOPS™ permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de spondylolisthésis de grade I.
Grâce à prothèse CP-ESP®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
La chirurgie Motion avec prothèse discale cervicale permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de sténose lombaire modérée.
Grâce à prothèse CP-ESP®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Les implants comme prothèse LP-ESP® sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la arthrose facettaire débutante.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse CP-ESP® ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Chez les patients souffrant de mobilité segmentaire conservée, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Les implants comme implant B-Dyn® sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la sténose lombaire modérée.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse CP-ESP® ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
La chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de mobilité segmentaire conservée.
Chez les patients souffrant de sténose lombaire modérée, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse CP-ESP® ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Grâce à prothèse CP-ESP®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Chez les patients souffrant de ASD (maladie du segment adjacent), la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Les implants comme prothèse LP-ESP® sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la ASD (maladie du segment adjacent).
Grâce à implant dynamique non fusionnel, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Les implants comme prothèse LP-ESP® sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la arthrose facettaire débutante.
Les implants comme système TOPS™ sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la hernie discale avec segment mobile.
La chirurgie Motion avec prothèse CP-ESP® permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de hernie discale avec segment mobile.
La chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de arthrose facettaire débutante.
La chirurgie Motion avec prothèse discale cervicale permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de arthrose facettaire débutante.
Grâce à système TOPS™, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
La chirurgie Motion avec prothèse LP-ESP® permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de ASD (maladie du segment adjacent).
La chirurgie Motion avec prothèse LP-ESP® permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de sténose lombaire modérée.
Grâce à implant dynamique non fusionnel, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
La chirurgie Motion avec prothèse LP-ESP® permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de hernie discale avec segment mobile.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse LP-ESP® ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Les implants comme prothèse CP-ESP® sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la sténose lombaire modérée.
La chirurgie Motion avec prothèse discale cervicale permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de mobilité segmentaire conservée.
Chez les patients souffrant de spondylolisthésis de grade I, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Grâce à prothèse discale cervicale, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Chez les patients souffrant de dégénérescence discale isolée, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Les implants comme prothèse discale cervicale sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la ASD (maladie du segment adjacent).
Les implants comme système TOPS™ sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la discopathie lombaire symptomatique.
La chirurgie Motion avec implant B-Dyn® permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de dégénérescence discale isolée.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse discale cervicale ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Grâce à système TOPS™, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse discale cervicale ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Grâce à prothèse discale cervicale, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Les implants comme système TOPS™ sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la discopathie lombaire symptomatique.
Grâce à prothèse CP-ESP®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Les implants comme prothèse discale cervicale sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la dégénérescence discale isolée.
C'est une chirurgie qui vise à préserver le mouvement naturel d'un segment vertébral à l'aide d'un implant dynamique ou d'une prothèse discale.
La chirurgie motion conserve la mobilité du segment opéré, tandis que la fusion bloque définitivement ce segment.
Pour traiter les hernies discales, spondylolisthésis de bas grade, ou discopathies sans instabilité majeure.
Des prothèses discales (ESP, LP-ESP) ou des systèmes dynamiques comme TOPS™, IntraSPINE® ou BDyn.
Oui, elle représente une évolution moderne visant à préserver la biomécanique du rachis.
Oui, elle remplace le disque abîmé tout en conservant les mouvements de la colonne.
Oui, c'est une arthroplastie postérieure qui restaure la mobilité tout en stabilisant la zone opérée.
Préservation du mouvement, réduction du risque de dégénérescence des segments adjacents, meilleure qualité de vie.
Déplacement de l'implant, usure prématurée, douleur persistante, ou besoin de conversion en fusion.
Oui, mais cela dépend de l'état de chaque segment et de la technique utilisée.
Comme toute chirurgie, une douleur post-opératoire est attendue, mais généralement modérée et bien contrôlée.
En moyenne 60 à 90 minutes par niveau traité.
La convalescence dure généralement entre 4 et 8 semaines.
Oui, après 3 à 6 mois, selon l'activité et la récupération.
Oui, mais il peut être retiré ou remplacé en cas de complication.
Oui, les implants modernes comme TOPS™ ou LP-ESP sont compatibles IRM sous certaines conditions.
Oui, en raison du coût plus élevé des implants dynamiques ou prothétiques.
Parfois oui, notamment pour traiter un segment adjacent ou corriger une défaillance post-opératoire.
Oui, elle réduit le stress sur les niveaux voisins contrairement à la fusion.
Non, elle nécessite une formation spécifique et une expérience en implant dynamique.
Oui, avec des examens d'imagerie pour vérifier la position et la mobilité de l'implant.
En France, elle n'est pas systématiquement remboursée, car certains implants ne sont pas inscrits à la liste de remboursement.
Elle est généralement réservée aux patients entre 30 et 70 ans avec une bonne qualité osseuse.
Très bons dans les études cliniques, avec une réduction significative de la douleur et de l'incapacité fonctionnelle.
Oui, après 2 à 4 semaines selon la récupération et l'arrêt des antalgiques.
Une reprise est possible entre 4 et 8 semaines selon le poste occupé.
IRM, scanner, radiographies dynamiques et parfois un scanner EOS.
Entre 80 et 95 % selon les indications et le type d'implant.
Oui, elle est souvent proposée comme alternative plus physiologique à la fusion.
C'est un dispositif qui permet un mouvement contrôlé du rachis tout en assurant sa stabilité.
Entre 15 000 € et 30 000 € selon le centre, l'implant et le type d'hospitalisation.
Environ 15 à 20 ans selon les études cliniques et le mode de vie du patient.
Oui, si elles ne présentent pas de contre-indications spécifiques comme l'ostéoporose sévère.
Oui, avec des prothèses cervicales comme CP-ESP ou Prestige.
Oui, la physiothérapie est recommandée pour optimiser la récupération fonctionnelle.
Oui, on parle alors de montage hybride.
Douleur discogénique, bonne mobilité, pas d'instabilité sévère, bon état osseux.
TOPS™, LP-ESP, CP-ESP, IntraSPINE®, BDyn.
Oui, les implants sont radio-opaques et contrôlables sur imagerie.
Oui, les infiltrations font partie du traitement conservateur avant la chirurgie.
Oui, c'est même recommandé pour confirmer l'indication.
Des complications rares peuvent survenir, comme le descellement ou l'usure de l'implant.
Oui, sous réserve du type d'implant utilisé et des conditions de sécurité IRM.
Elle permet de conserver leur amplitude de mouvement et un mode de vie plus dynamique.
Non, il est fixé solidement aux vertèbres pour reproduire le mouvement sans instabilité.
En cas d'échec, une fusion peut être réalisée secondairement.
Oui, elle nécessite une anesthésie générale pour un meilleur confort et une sécurité maximale.
En moyenne 2 à 5 jours selon la voie d'abord et la récupération post-opératoire.
Certains sont personnalisés en 3D, d'autres sont standards mais adaptés à l'anatomie du patient.
Contactez SOS Tourisme Médical dès aujourd'hui pour discuter de vos options et entamer les démarches vers un avenir plus mobile et sans douleur. Votre bien-être est notre priorité.Canada ou non remboursées ici. Notre objectif est de permettre à chaque patient de retrouver sa mobilité, sans douleur, grâce aux technologies les plus avancées en chirurgie du rachis.