Ce podcast explore deux approches chirurgicales distinctes pour la douleur lombaire chronique : l’arthrodèse (fusion) et l’arthroplastie (remplacement discal). Il présente l’arthrodèse comme la méthode historique de stabilisation […]
Prothèse ou Fusion? Comprendre vos options pour la chirurgie du dos.
Introduction : La croisée des chemins en chirurgie spinale
Lorsque la douleur lombaire chronique, causée par l’usure d’un disque intervertébral (discopathie dégénérative), ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie, les médicaments ou les infiltrations, la chirurgie devient une option à considérer. Cette décision marque un tournant décisif dans votre parcours de soins, un moment où vous êtes confronté à un choix fondamental entre deux philosophies chirurgicales distinctes : l’arthrodèse (la fusion) et l’arthroplastie (le remplacement par une prothèse discale).
Ce n’est pas simplement un choix entre deux techniques, mais entre deux visions de l’avenir de votre colonne vertébrale. D’un côté, l’arthrodèse, la méthode historique et éprouvée, qui vise à éliminer la douleur en supprimant le mouvement. C’est la voie de la stabilisation par le blocage. De l’autre, l’arthroplastie, une approche moderne et dynamique, qui cherche à soulager la douleur tout en préservant la fonction naturelle de votre dos. C’est la voie de la stabilisation par la restauration du mouvement.
Comprendre les nuances, les avantages, les inconvénients et les implications à long terme de chaque option est essentiel pour prendre une décision éclairée, en partenariat avec votre chirurgien. Cette page a pour but de vous fournir un guide complet et équilibré, basé sur les données scientifiques les plus récentes, pour vous aider à naviguer dans ce choix crucial et à déterminer quelle stratégie correspond le mieux à votre pathologie, à votre style de vie et à vos objectifs futurs.
L’Arthrodèse (Fusion Lombaire) : Le Standard Historique
L’arthrodèse est, depuis des décennies, la technique chirurgicale de référence pour traiter les discopathies dégénératives sévères, l’instabilité vertébrale ou les déformations. Son principe est simple et logique : si le mouvement d’un segment vertébral usé est la source de la douleur, alors l’élimination de ce mouvement devrait éliminer la douleur.
Le principe de la fusion
L’objectif de l’arthrodèse est de créer une « soudure » osseuse entre deux ou plusieurs vertèbres, les transformant en un seul bloc solide et immobile. Pour y parvenir, le chirurgien réalise plusieurs étapes clés :
Discectomie : Le disque intervertébral malade et endommagé est entièrement retiré.
Mise en place d’une cage : L’espace vide est comblé par une « cage » intersomatique, un petit implant en PEEK (un polymère de haute technologie) ou en titane.
Greffe osseuse : Cette cage est remplie de greffon osseux. Il peut s’agir d’os prélevé sur le patient lui-même (autogreffe) ou d’un substitut osseux synthétique. C’est ce greffon qui va stimuler la croissance osseuse.
Fixation par matériel : Pour assurer une stabilité immédiate et permettre à la greffe de prendre, le chirurgien fixe les vertèbres à l’aide de matériel métallique : des vis pédiculaires insérées dans les vertèbres et des tiges qui relient ces vis entre elles.
Ce montage rigide immobilise complètement le segment, donnant le temps à l’os de pousser à travers la cage et de fusionner les vertèbres de manière définitive. Ce processus de consolidation, appelé pseudoarthrose, peut prendre de 6 à 12 mois.
Le principal inconvénient : la Maladie du Segment Adjacent (MSA)
Si l’arthrodèse peut être très efficace pour soulager la douleur au niveau opéré, son principal inconvénient réside dans ses conséquences biomécaniques à long terme. En bloquant un segment, les forces et les contraintes de mouvement qui s’y appliquaient auparavant ne disparaissent pas. Elles sont transférées et concentrées sur les disques et les articulations situés juste au-dessus et juste en dessous de la zone fusionnée.
Imaginez une chaîne dont on soude deux maillons ensemble. Les maillons adjacents devront supporter une charge et une torsion accrues, ce qui accélérera leur usure. C’est exactement ce qui se passe dans la colonne vertébrale. Cette usure accélérée des niveaux voisins est appelée Maladie du Segment Adjacent (MSA). Elle peut entraîner l’apparition de nouvelles douleurs, d’une nouvelle hernie discale ou d’une nouvelle instabilité quelques années après la chirurgie initiale, conduisant parfois à la nécessité d’étendre la fusion, créant un effet domino potentiellement sans fin. C’est pour briser ce cycle que l’arthroplastie a été développée.
L’Arthroplastie (Prothèse Discale) : La Philosophie de la Préservation du Mouvement
L’arthroplastie, ou remplacement total du disque, part d’un postulat différent : il est possible de traiter la douleur d’un disque malade sans sacrifier la mobilité de la colonne. L’objectif n’est pas de bloquer, mais de restaurer une fonction aussi proche que possible de la normale.
Le principe de la prothèse discale
L’intervention consiste à retirer le disque dégénéré et à le remplacer par une prothèse artificielle conçue pour reproduire les mouvements naturels du disque sain. Une prothèse moderne est une merveille de biomécanique, composée généralement de deux plateaux métalliques (souvent en alliage de titane avec un revêtement favorisant l’intégration osseuse) et d’un noyau central mobile (en polyéthylène de haute densité ou en polymère viscoélastique).
Cette conception permet de préserver les mouvements de flexion, d’extension, d’inclinaison latérale et de rotation, tout en maintenant la hauteur discale et en stabilisant le segment. En conservant le mouvement, l’arthroplastie vise à maintenir une répartition plus naturelle des contraintes sur l’ensemble de la colonne lombaire, réduisant ainsi drastiquement le risque de surcharger et d’user prématurément les disques adjacents.
Qui est un bon candidat pour l’arthroplastie?
Le succès de l’arthroplastie dépend d’une sélection très rigoureuse des patients. Ce n’est pas une solution universelle. Elle s’adresse à un groupe spécifique de patients qui remplissent des critères stricts, assurant ainsi les meilleurs résultats possibles.
Checklist du Candidat Idéal pour l’Arthroplastie Lombaire
Âge : Idéalement moins de 60 ans, car les structures osseuses et ligamentaires sont généralement de meilleure qualité.
Diagnostic : Lombalgie chronique (plus de 6 mois) et invalidante, dont l’origine principale est clairement identifiée comme provenant d’un seul disque (douleur discogénique).
Pathologie localisée : La maladie ne touche qu’un seul niveau discal (le plus souvent L4-L5 ou L5-S1).
Absence d’arthrose facettaire sévère : Les petites articulations à l’arrière des vertèbres doivent être en bon état, car elles continueront à bouger avec la prothèse.
Absence d’instabilité ou de déformation majeure : Pas de spondylolisthésis (glissement de vertèbre) de grade supérieur à 1, ni de scoliose significative.
Absence d’ostéoporose : Une bonne qualité osseuse est nécessaire pour assurer un ancrage solide de la prothèse.
Comparaison Directe : Ce que Disent les Preuves Scientifiques
Le choix entre fusion et prothèse n’est pas qu’une question de philosophie ; il est de plus en plus guidé par des données scientifiques solides issues d’études comparatives et de méta-analyses (des études qui compilent et analysent les résultats de multiples essais cliniques).
Tableau 1 : Arthroplastie vs. Arthrodèse – Synthèse des Résultats Cliniques
Critère de comparaison
Arthroplastie (Prothèse Discale)
Arthrodèse (Fusion Lombaire)
Avantage démontré
Amélioration fonctionnelle (Score ODI)
Amélioration significative et souvent plus rapide
Amélioration significative mais parfois plus lente
Prothèse
Soulagement de la douleur (Score EVA)
Amélioration significative
Amélioration significative
Similaire à long terme, mais souvent plus rapide avec la prothèse
Douleur et fonction : Les deux interventions sont efficaces pour réduire la douleur et améliorer la fonction. Cependant, plusieurs méta-analyses de grande envergure ont montré que les patients bénéficiant d’une prothèse discale rapportent une amélioration fonctionnelle (mesurée par le score d’incapacité d’Oswestry – ODI) significativement meilleure que ceux ayant eu une fusion.
Taux de réopération : C’est l’un des arguments les plus forts en faveur de l’arthroplastie. En préservant le mouvement et en réduisant le stress sur les niveaux adjacents, la prothèse diminue le risque de devoir subir une nouvelle intervention à l’avenir. Une méta-analyse a montré que le risque de réopération était presque deux fois moins élevé avec une prothèse qu’avec une fusion.
Satisfaction du patient : De manière constante, les études rapportent des taux de satisfaction globale plus élevés dans les groupes de patients ayant reçu une prothèse discale.
Le Parcours de Récupération : Deux Chemins Très Différents
La différence entre les deux philosophies se ressent de manière très concrète durant la phase de convalescence. Le type d’intervention et les objectifs de rééducation dictent un calendrier et des restrictions très distincts.
Tableau 2 : Chronologie de la Récupération Typique
Mobilisation plus rapide : Les patients sont encouragés à marcher dès le jour de l’opération.
Pas de greffe à protéger : Il n’y a pas de consolidation osseuse à attendre, ce qui permet une rééducation plus précoce et dynamique.
Autonomie retrouvée plus vite : La reprise de la conduite et des activités quotidiennes est significativement plus rapide.
Les contraintes de la récupération après une fusion
Protection de la greffe : Toute la stratégie de récupération est axée sur la nécessité de ne pas perturber la fusion osseuse en cours.
Restrictions de mouvement strictes : L’interdiction de se pencher en avant (flexion) et de pivoter (torsion) pendant plusieurs semaines est une contrainte majeure au quotidien.
Rééducation plus lente : La kinésithérapie est initialement douce, et les exercices de renforcement plus intenses sont retardés jusqu’à ce que le chirurgien confirme la solidité de la fusion sur les radiographies.
Retour aux activités plus tardif : Le retour au travail et aux loisirs est généralement plus long.
Conclusion : Faire un Choix Éclairé pour Votre Avenir
La décision entre une arthroplastie et une arthrodèse n’est pas une question de « bonne » ou de « mauvaise » chirurgie, mais de choisir la bonne chirurgie pour le bon patient.
L’arthrodèse (fusion) demeure une excellente option, le standard de référence pour les patients présentant des pathologies complexes comme une instabilité sévère, une déformation (scoliose), une maladie sur plusieurs niveaux ou une arthrose avancée des articulations facettaires. Dans ces cas, la préservation du mouvement n’est ni possible ni souhaitable.
L’arthroplastie (prothèse discale), quant à elle, s’est imposée comme une alternative moderne et très performante pour un groupe de patients soigneusement sélectionnés. Pour ces candidats, elle offre des avantages convaincants, soutenus par des preuves scientifiques solides : une récupération plus rapide, une meilleure satisfaction, un risque de réopération plus faible et, surtout, la préservation d’un style de vie plus actif et naturel grâce au maintien de la mobilité.
Le choix final vous appartient, mais il doit être le fruit d’une discussion approfondie avec un chirurgien expert qui maîtrise parfaitement les deux techniques. C’est en évaluant précisément votre anatomie, vos symptômes et vos attentes que vous pourrez, ensemble, définir la stratégie qui vous offrira les meilleures chances de retrouver un dos sans douleur et une vie sans limites.
Une instabilité du rachis bien ciblée peut être traitée efficacement par prothèse discale, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Le choix entre chirurgie de décompression et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la sténose rachidienne et du profil du patient.
La fusion TLIF ou PLIF est une des interventions de référence pour la prise en charge de la hernie discale, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
Une fracture vertébrale bien ciblée peut être traitée efficacement par arthrodèse vertébrale, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Chez les patients souffrant de sténose rachidienne, la chirurgie endoscopique permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Oui, dans de nombreux cas, grâce à la physiothérapie, aux infiltrations ou à la décompression neurovertébrale.
Chez les patients souffrant de hernie discale, la fusion TLIF ou PLIF permet souvent de réduire la douleur, d’améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
La fusion TLIF ou PLIF est une des interventions de référence pour la prise en charge de la instabilité du rachis, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
La chirurgie de décompression est une des interventions de référence pour la prise en charge de la discopathie dégénérative, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
Chez les patients souffrant de fracture vertébrale, la arthrodèse vertébrale permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Chez les patients souffrant de discopathie dégénérative, la prothèse discale permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Chez les patients souffrant de déformation spinale, la fusion TLIF ou PLIF permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Entre 2 et 12 semaines selon le type d’intervention et le métier exercé.
Chez les patients souffrant de hernie discale, la chirurgie endoscopique permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Chez les patients souffrant de déformation spinale, la arthrodèse vertébrale permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
La fusion TLIF ou PLIF est couramment utilisée pour traiter la tumeur spinale en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
Chez les patients souffrant de instabilité du rachis, la chirurgie endoscopique permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
La chirurgie mini-invasive du rachis est couramment utilisée pour traiter la sténose rachidienne en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
Une sténose rachidienne bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie de décompression, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Oui, progressivement, avec une reprise adaptée entre 2 et 6 mois.
Une hernie discale bien ciblée peut être traitée efficacement par arthrodèse vertébrale, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
La chirurgie de décompression est couramment utilisée pour traiter la discopathie dégénérative en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
La chirurgie mini-invasive du rachis est une des interventions de référence pour la prise en charge de la spondylolisthésis, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
La arthrodèse vertébrale est couramment utilisée pour traiter la spondylolisthésis en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
Le choix entre fusion TLIF ou PLIF et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la tumeur spinale et du profil du patient.
La fusion TLIF ou PLIF est couramment utilisée pour traiter la instabilité du rachis en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
Pas nécessairement, si leur état de santé général permet une bonne récupération.
La chirurgie de décompression est une des interventions de référence pour la prise en charge de la spondylolisthésis, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
Une spondylolisthésis bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie de décompression, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Chez les patients souffrant de instabilité du rachis, la chirurgie endoscopique permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Chez les patients souffrant de déformation spinale, la fusion TLIF ou PLIF permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
La prothèse discale est une des interventions de référence pour la prise en charge de la sténose rachidienne, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
Chez les patients souffrant de sténose rachidienne, la chirurgie mini-invasive du rachis permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Oui, les résultats sont généralement bons si l’indication est bien posée et que la rééducation est bien suivie.
La prothèse discale est une des interventions de référence pour la prise en charge de la discopathie dégénérative, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
Une discopathie dégénérative bien ciblée peut être traitée efficacement par arthrodèse vertébrale, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
La chirurgie de décompression est couramment utilisée pour traiter la hernie discale en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
Une fracture vertébrale bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie de décompression, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Le choix entre prothèse discale et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la tumeur spinale et du profil du patient.
C’est une intervention visant à corriger des pathologies de la colonne vertébrale, telles que les hernies discales, sténoses, instabilités ou déformations.
Une hernie discale bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie endoscopique, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
La prothèse discale est couramment utilisée pour traiter la discopathie dégénérative en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
Chez les patients souffrant de fracture vertébrale, la chirurgie endoscopique permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
La chirurgie mini-invasive du rachis est couramment utilisée pour traiter la sténose rachidienne en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
Chez les patients souffrant de tumeur spinale, la chirurgie de décompression permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Soulager la douleur, libérer les nerfs comprimés, stabiliser ou redresser la colonne vertébrale.
Une déformation spinale bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie de décompression, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Le choix entre chirurgie mini-invasive du rachis et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la spondylolisthésis et du profil du patient.
La chirurgie mini-invasive du rachis est couramment utilisée pour traiter la discopathie dégénérative en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
Le choix entre arthrodèse vertébrale et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la tumeur spinale et du profil du patient.
Le choix entre chirurgie de décompression et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la déformation spinale et du profil du patient.
Elle est proposée après échec des traitements conservateurs et confirmation par l’imagerie et l’évaluation clinique.
La chirurgie mini-invasive du rachis est une des interventions de référence pour la prise en charge de la tumeur spinale, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
La chirurgie endoscopique est une des interventions de référence pour la prise en charge de la hernie discale, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
Le choix entre prothèse discale et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la déformation spinale et du profil du patient.
La chirurgie de décompression est couramment utilisée pour traiter la hernie discale en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
Le choix entre chirurgie de décompression et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la fracture vertébrale et du profil du patient.
Microchirurgie, endoscopie, fusion, prothèse discale, chirurgie dynamique ou décompression simple.
Une fracture vertébrale bien ciblée peut être traitée efficacement par arthrodèse vertébrale, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Une tumeur spinale bien ciblée peut être traitée efficacement par arthrodèse vertébrale, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Une spondylolisthésis bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie mini-invasive du rachis, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Le choix entre chirurgie mini-invasive du rachis et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la hernie discale et du profil du patient.
Le choix entre fusion TLIF ou PLIF et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la déformation spinale et du profil du patient.
Cervical (cou), thoracique (milieu du dos) et lombaire (bas du dos).
Une discopathie dégénérative bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie mini-invasive du rachis, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Chez les patients souffrant de fracture vertébrale, la chirurgie de décompression permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Chez les patients souffrant de hernie discale, la arthrodèse vertébrale permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Le choix entre chirurgie mini-invasive du rachis et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la fracture vertébrale et du profil du patient.
Une déformation spinale bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie endoscopique, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
La récupération varie de quelques semaines à plusieurs mois selon la complexité de l’intervention.
Le choix entre chirurgie mini-invasive du rachis et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la déformation spinale et du profil du patient.
La fusion TLIF ou PLIF est une des interventions de référence pour la prise en charge de la spondylolisthésis, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
Une hernie discale bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie de décompression, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
La chirurgie mini-invasive du rachis est couramment utilisée pour traiter la fracture vertébrale en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
Une fracture vertébrale bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie mini-invasive du rachis, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
IRM, radiographies, scanner et parfois un électromyogramme (EMG).
Chez les patients souffrant de sténose rachidienne, la chirurgie mini-invasive du rachis permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Une sténose rachidienne bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie de décompression, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
La arthrodèse vertébrale est couramment utilisée pour traiter la instabilité du rachis en soulageant la compression nerveuse ou en stabilisant la colonne vertébrale.
Une sténose rachidienne bien ciblée peut être traitée efficacement par fusion TLIF ou PLIF, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
La arthrodèse vertébrale est une des interventions de référence pour la prise en charge de la spondylolisthésis, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
Elle améliore significativement les symptômes, mais ne prévient pas nécessairement d’autres problèmes vertébraux à l’avenir.
Le choix entre chirurgie endoscopique et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la tumeur spinale et du profil du patient.
Chez les patients souffrant de spondylolisthésis, la chirurgie mini-invasive du rachis permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
La fusion TLIF ou PLIF est une des interventions de référence pour la prise en charge de la déformation spinale, surtout lorsqu'un traitement conservateur a échoué.
Chez les patients souffrant de hernie discale, la arthrodèse vertébrale permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Une fracture vertébrale bien ciblée peut être traitée efficacement par fusion TLIF ou PLIF, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Infection, saignement, brèche durale, lésions nerveuses, pseudarthrose ou récidive de symptômes.
Une spondylolisthésis bien ciblée peut être traitée efficacement par fusion TLIF ou PLIF, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Chez les patients souffrant de instabilité du rachis, la prothèse discale permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Le choix entre arthrodèse vertébrale et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la instabilité du rachis et du profil du patient.
Le choix entre arthrodèse vertébrale et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la discopathie dégénérative et du profil du patient.
Une tumeur spinale bien ciblée peut être traitée efficacement par prothèse discale, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
La douleur postopératoire est attendue mais bien gérée avec des médicaments et une prise en charge adaptée.
Le choix entre prothèse discale et d’autres options dépend du diagnostic précis, de la sévérité de la discopathie dégénérative et du profil du patient.
Une spondylolisthésis bien ciblée peut être traitée efficacement par chirurgie de décompression, en fonction du degré de dégénérescence ou d’instabilité présent.
Chez les patients souffrant de instabilité du rachis, la fusion TLIF ou PLIF permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Chez les patients souffrant de fracture vertébrale, la prothèse discale permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Chez les patients souffrant de hernie discale, la chirurgie endoscopique permet souvent de réduire la douleur, d'améliorer la mobilité et de prévenir les complications à long terme.
Non, certaines décompressions simples ne nécessitent aucun matériel.
Vos Questions les Plus Fréquentes (FAQ)
Chirurgie - Motion
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
La chirurgie Motion avec prothèse LP-ESP® permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de sténose lombaire modérée.
Grâce à prothèse discale cervicale, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
La convalescence dure généralement entre 4 et 8 semaines.
Oui, elle est souvent proposée comme alternative plus physiologique à la fusion.
Non, il est fixé solidement aux vertèbres pour reproduire le mouvement sans instabilité.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse CP-ESP® ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Grâce à implant dynamique non fusionnel, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Les implants comme système TOPS™ sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la discopathie lombaire symptomatique.
Oui, après 3 à 6 mois, selon l’activité et la récupération.
C’est un dispositif qui permet un mouvement contrôlé du rachis tout en assurant sa stabilité.
En cas d’échec, une fusion peut être réalisée secondairement.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec système TOPS™ ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
La chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de mobilité segmentaire conservée.
La chirurgie Motion avec prothèse LP-ESP® permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de hernie discale avec segment mobile.
Grâce à prothèse CP-ESP®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Oui, mais il peut être retiré ou remplacé en cas de complication.
Entre 15 000 € et 30 000 € selon le centre, l’implant et le type d’hospitalisation.
Oui, elle nécessite une anesthésie générale pour un meilleur confort et une sécurité maximale.
Grâce à prothèse CP-ESP®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Chez les patients souffrant de sténose lombaire modérée, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse LP-ESP® ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Les implants comme prothèse discale cervicale sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la dégénérescence discale isolée.
Oui, les implants modernes comme TOPS™ ou LP-ESP sont compatibles IRM sous certaines conditions.
Environ 15 à 20 ans selon les études cliniques et le mode de vie du patient.
En moyenne 2 à 5 jours selon la voie d’abord et la récupération post-opératoire.
Grâce à implant B-Dyn®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse CP-ESP® ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Les implants comme prothèse CP-ESP® sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la sténose lombaire modérée.
C’est une chirurgie qui vise à préserver le mouvement naturel d’un segment vertébral à l’aide d’un implant dynamique ou d’une prothèse discale.
Oui, en raison du coût plus élevé des implants dynamiques ou prothétiques.
Oui, si elles ne présentent pas de contre-indications spécifiques comme l’ostéoporose sévère.
Certains sont personnalisés en 3D, d’autres sont standards mais adaptés à l’anatomie du patient.
Chez les patients souffrant de hernie discale avec segment mobile, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Grâce à prothèse CP-ESP®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
La chirurgie Motion avec prothèse discale cervicale permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de mobilité segmentaire conservée.
La chirurgie motion conserve la mobilité du segment opéré, tandis que la fusion bloque définitivement ce segment.
Parfois oui, notamment pour traiter un segment adjacent ou corriger une défaillance post-opératoire.
Oui, avec des prothèses cervicales comme CP-ESP ou Prestige.
Chez les patients souffrant de hernie discale avec segment mobile, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Chez les patients souffrant de ASD (maladie du segment adjacent), la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Chez les patients souffrant de spondylolisthésis de grade I, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Pour traiter les hernies discales, spondylolisthésis de bas grade, ou discopathies sans instabilité majeure.
Oui, elle réduit le stress sur les niveaux voisins contrairement à la fusion.
Oui, la physiothérapie est recommandée pour optimiser la récupération fonctionnelle.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Les implants comme prothèse LP-ESP® sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la ASD (maladie du segment adjacent).
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Des prothèses discales (ESP, LP-ESP) ou des systèmes dynamiques comme TOPS™, IntraSPINE® ou BDyn.
Non, elle nécessite une formation spécifique et une expérience en implant dynamique.
Oui, on parle alors de montage hybride.
La chirurgie Motion avec système TOPS™ permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de spondylolisthésis de grade I.
Grâce à implant dynamique non fusionnel, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Grâce à prothèse discale cervicale, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Oui, elle représente une évolution moderne visant à préserver la biomécanique du rachis.
Oui, avec des examens d’imagerie pour vérifier la position et la mobilité de l’implant.
Douleur discogénique, bonne mobilité, pas d’instabilité sévère, bon état osseux.
Grâce à prothèse CP-ESP®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Les implants comme prothèse LP-ESP® sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la arthrose facettaire débutante.
Chez les patients souffrant de dégénérescence discale isolée, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Oui, elle remplace le disque abîmé tout en conservant les mouvements de la colonne.
En France, elle n’est pas systématiquement remboursée, car certains implants ne sont pas inscrits à la liste de remboursement.
TOPS™, LP-ESP, CP-ESP, IntraSPINE®, BDyn.
La chirurgie Motion avec prothèse discale cervicale permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de sténose lombaire modérée.
Les implants comme système TOPS™ sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la hernie discale avec segment mobile.
Les implants comme prothèse discale cervicale sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la ASD (maladie du segment adjacent).
Oui, c’est une arthroplastie postérieure qui restaure la mobilité tout en stabilisant la zone opérée.
Elle est généralement réservée aux patients entre 30 et 70 ans avec une bonne qualité osseuse.
Oui, les implants sont radio-opaques et contrôlables sur imagerie.
Grâce à prothèse CP-ESP®, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
La chirurgie Motion avec prothèse CP-ESP® permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de hernie discale avec segment mobile.
Les implants comme système TOPS™ sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la discopathie lombaire symptomatique.
Préservation du mouvement, réduction du risque de dégénérescence des segments adjacents, meilleure qualité de vie.
Très bons dans les études cliniques, avec une réduction significative de la douleur et de l’incapacité fonctionnelle.
Oui, les infiltrations font partie du traitement conservateur avant la chirurgie.
Les implants comme prothèse LP-ESP® sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la arthrose facettaire débutante.
La chirurgie Motion avec implant dynamique non fusionnel permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de arthrose facettaire débutante.
La chirurgie Motion avec implant B-Dyn® permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de dégénérescence discale isolée.
Déplacement de l’implant, usure prématurée, douleur persistante, ou besoin de conversion en fusion.
Oui, après 2 à 4 semaines selon la récupération et l’arrêt des antalgiques.
Oui, c’est même recommandé pour confirmer l’indication.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse CP-ESP® ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
La chirurgie Motion avec prothèse discale cervicale permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de arthrose facettaire débutante.
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse discale cervicale ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
Oui, mais cela dépend de l’état de chaque segment et de la technique utilisée.
Une reprise est possible entre 4 et 8 semaines selon le poste occupé.
Des complications rares peuvent survenir, comme le descellement ou l’usure de l’implant.
Chez les patients souffrant de mobilité segmentaire conservée, la chirurgie Motion peut soulager les douleurs tout en évitant les effets secondaires liés à la perte de mobilité.
Grâce à système TOPS™, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Grâce à système TOPS™, les patients conservent une amplitude de mouvement fonctionnelle tout en stabilisant la zone opérée et en soulageant les compressions nerveuses.
Comme toute chirurgie, une douleur post-opératoire est attendue, mais généralement modérée et bien contrôlée.
IRM, scanner, radiographies dynamiques et parfois un scanner EOS.
Oui, sous réserve du type d’implant utilisé et des conditions de sécurité IRM.
Les implants comme implant B-Dyn® sont conçus pour reproduire la mécanique naturelle de la colonne, ce qui est idéal pour traiter des pathologies comme la sténose lombaire modérée.
La chirurgie Motion avec prothèse LP-ESP® permet de stabiliser la colonne tout en conservant la mobilité naturelle, particulièrement utile chez les patients atteints de ASD (maladie du segment adjacent).
Contrairement à la fusion, la chirurgie Motion avec prothèse discale cervicale ne bloque pas les vertèbres mais permet un mouvement contrôlé en flexion, extension, rotation et inclinaison latérale.
En moyenne 60 à 90 minutes par niveau traité.
Entre 80 et 95 % selon les indications et le type d’implant.
Elle permet de conserver leur amplitude de mouvement et un mode de vie plus dynamique.
Contactez SOS Tourisme Médical dès aujourd'hui pour discuter de vos options et entamer les démarches vers un avenir plus mobile et sans douleur. Votre bien-être est notre priorité.Canada ou non remboursées ici. Notre objectif est de permettre à chaque patient de retrouver sa mobilité, sans douleur, grâce aux technologies les plus avancées en chirurgie du rachis.