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Ce podcast propose un aperçu complet de la sténose spinale lombaire, une condition caractérisée par le rétrécissement du canal rachidien, entraînant des symptômes tels que douleur […]
Guide du patient sur la Sténose Spinale (Canal Lombaire Étroit)
1. Introduction à la sténose spinale : définitions, causes, symptômes
La sténose spinale lombaire (ou canal lombaire étroit) se définit par un rétrécissement anormal du canal rachidien au bas du dos. Ce rétrécissement comprime les racines nerveuses destinées aux membres inférieurs, ce qui provoque typiquement des douleurs lombaires irradiant dans les jambes, des engourdissements ou une faiblesse musculaire, en particulier à la marche (on parle de claudication neurogène). Autrement dit, le canal nerveux étant trop étroit, les nerfs sciatiques ou cruraux sont « pincés » lors de la station debout et de la marche, entraînant divers symptômes neurologiques dans les jambes.
Causes : La sténose lombaire est le plus souvent d’origine dégénérative et liée à l’arthrose. Avec l’âge, les structures de la colonne s’épaississent et s’usent : les ligaments jaunâtres s’hypertrophient, les petites articulations postérieures (facettes) développent de l’arthrose, et des excroissances osseuses peuvent réduire l’espace disponible pour les nerfs. Ces changements rétrécissent progressivement le canal rachidien. Parfois, un glissement d’une vertèbre sur une autre (spondylolisthésis dégénératif) s’associe à la sténose et aggrave la compression nerveuse. Plus rarement, la sténose peut être congénitale (canal étroit de naissance) ou due à une pathologie (fracture, scoliose importante, tumeur), mais chez l’adulte le vieillissement et l’arthrose lombaire en sont la cause principale.
Symptômes : Les signes cliniques de la sténose lombaire sont assez caractéristiques et doivent être bien reconnus par le patient averti :
Douleur lombaire et radiculalgie : une lombalgie (douleur dans le bas du dos) peut être présente, souvent associée à une douleur qui irradie vers les fesses et les jambes (de type sciatique ou cruralgie). La douleur dans les jambes peut s’étendre à l’arrière des cuisses et jusqu’aux mollets.
Claudication neurogène : c’est le symptôme le plus typique. Après quelques minutes de marche ou de station debout, le patient ressent des crampes, lourdeurs ou engourdissements dans une ou les deux jambes, pouvant s’accompagner d’une sensation de faiblesse (impression que les jambes « lâchent »). Ces symptômes neurologiques à l’effort forcent le patient à s’arrêter au bout d’un certain périmètre de marche. Fait caractéristique, le repos en position assise ou penchée en avant soulage rapidement ces manifestations (on parle du signe du caddie, le fait de se pencher en s’appuyant sur un chariot), car cette posture ouvre mécaniquement le canal rachidien et diminue temporairement la compression des nerfs.
Troubles sensitifs et moteurs : des fourmillements ou picotements (paresthésies) descendent souvent le long des jambes jusqu’aux pieds. Une faiblesse dans les jambes peut survenir à l’effort, témoignant de la souffrance nerveuse. Dans les cas avancés ou sévères, on peut observer un déficit neurologique (diminution de force, engourdissement persistant, voire des troubles du contrôle urinaire dans les formes extrêmes), ce qui signe une compression importante.
Sans prise en charge, une sténose lombaire sévère a tendance à s’aggraver graduellement. Le patient voit son périmètre de marche se réduire, les douleurs augmenter et la faiblesse musculaire progresser, avec un impact majeur sur sa qualité de vie. Néanmoins, l’évolution est en général lente, ce qui laisse le temps d’entreprendre des traitements adaptés.
Voici une liste des principaux synonymes de la « Sténose spinale » :
2. Traitements conservateurs : physiothérapie, médication, infiltrations, thérapies complémentaires
Avant de recourir à la chirurgie, un traitement conservateur bien conduit est toujours privilégié en première intention. Ce traitement non chirurgical combine plusieurs approches et est généralement poursuivi pendant au moins 3 à 6 mois avant d’en évaluer les bénéfices. Les principales options conservatrices pour une sténose lombaire incluent :
Kinésithérapie (physiothérapie) : C’est un pilier du traitement conservateur. Un programme de physiothérapie adapté vise à soulager la douleur et améliorer la fonction par des exercices et techniques variés. Le kinésithérapeute peut travailler sur le renforcement des muscles du tronc (gainage abdominal, muscles paravertébraux) pour mieux stabiliser la colonne, sur des étirements (ischio-jambiers, psoas, mollets) pour améliorer la flexibilité, ainsi que sur l’apprentissage de postures de délestage (par exemple, adopter une légère flexion du tronc en marchant, ce qui peut réduire la compression des nerfs). Des exercices d’endurance à la marche sont souvent proposés pour augmenter progressivement la distance de marche sans douleur. L’éducation posturale et l’ergonomie (gestes de la vie quotidienne, techniques pour se pencher sans accentuer la lordose lombaire, etc.) font partie intégrante de la kiné. Globalement, la rééducation cherche à améliorer la mobilité et la force tout en apprenant au patient à gérer son dos au quotidien, ce qui peut réduire les symptômes dans bon nombre de cas légers à modérés.
Médication analgésique et anti-inflammatoire : Une prise en charge médicamenteuse aide à contrôler les symptômes pendant la phase conservatrice. On utilise classiquement des antalgiques (paracétamol, tramadol ou opioïdes légers si nécessaire) pour calmer la douleur, et des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) pour réduire l’inflammation autour des racines nerveuses. Des myorelaxants peuvent être prescrits à court terme si une contracture musculaire paravertébrale contribue aux douleurs. En présence de douleurs neurologiques (décharges électriques, brûlures), certains médicaments neurotropes comme la gabapentine ou la prégabaline peuvent aider à soulager les sciatalgies. Il est important de noter que ces traitements médicamenteux soulagent les symptômes mais n’agissent pas sur la cause anatomique du problème. Ils doivent être utilisés de façon raisonnée, en concertation avec le médecin, en tenant compte des effets secondaires possibles (notamment gastriques pour les AINS, somnolence pour certains antalgiques forts, etc.).
Infiltrations épidurales : Les infiltrations de corticostéroïdes dans le canal rachidien (péridurales) sont une option fréquemment proposée en cas de sténose lombaire douloureuse. Il s’agit d’injecter un corticoïde anti-inflammatoire à proximité immédiate des racines nerveuses comprimées, sous guidage radiologique, afin de diminuer l’inflammation locale provoquée par le conflit mécanique. Les infiltrations peuvent procurer un soulagement temporaire des douleurs et paresthésies sur quelques semaines à quelques mois. Elles constituent un complément utile à la physiothérapie et aux médicaments, notamment pour permettre au patient de réaliser ses exercices avec moins de douleur. Parfois, des infiltrations foraminales ciblées (au niveau de la sortie d’une racine nerveuse précise) ou des infiltrations des facettes articulaires postérieures sont réalisées si ces structures contribuent à la symptomatologie. Bien que les résultats des infiltrations varient d’un patient à l’autre, un essai de 1 à 3 infiltrations espacées peut faire partie du protocole conservateur standard .
Thérapies complémentaires : En plus des approches conventionnelles ci-dessus, de nombreux patients cherchent un soulagement via des méthodes complémentaires. Celles-ci ne « guérissent » pas la sténose mais peuvent améliorer le confort. On peut citer l’ostéopathie ou la chiropraxie, qui, pratiquées avec prudence, visent à mobiliser la colonne et à réduire certaines tensions (attention toutefois aux manipulations forcées chez les patients avec compression sévère, elles sont généralement déconseillées). L’acupuncture peut aider à moduler la douleur chez certains. Des exercices en piscine (balnéothérapie) permettent de travailler la marche dans un milieu porté, avec moins de contraintes gravitationnelles sur le rachis, ce qui est souvent bien toléré. Le port d’une ceinture lombaire souple peut être envisagé lors des activités pénibles : elle apporte un effet proprioceptif et rassurant, bien qu’elle n’élargisse pas le canal, elle peut soulager en limitant l’hyperextension lombaire. Enfin, l’adoption de mesures hygiéno-diététiques comme la perte de poids en cas de surcharge, ou l’adaptation des activités (éviter les efforts en extension prolongée du dos), fait partie intégrante du traitement conservateur.
Bilan : Dans de nombreux cas de sténose modérée, ces traitements conservateurs apportent un soulagement suffisant pour éviter ou retarder la chirurgie. Il faut toutefois être patient et assidu : un essai thérapeutique d’au moins quelques mois est requis pour juger de l’efficacité. Si malgré une prise en charge bien menée incluant kiné, médicaments et infiltrations, les symptômes persistent et limitent gravement les activités quotidiennes, alors une évaluation chirurgicale s’impose.
La décompression neurovertébrale : une approche technologique à haute efficacité
Parmi les traitements conservateurs de pointe, la décompression neurovertébrale se distingue comme une solution non chirurgicale et scientifiquement éprouvée pour soulager la douleur causée par la sténose spinale et diverses affections discales. Des cliniques spécialisées, telles que TAGMED, proposent cette technologie avancée qui s’attaque directement à la cause biomécanique de la douleur, offrant des résultats significatifs là où d’autres traitements ont parfois montré leurs limites.
Le principe de la décompression neurovertébrale repose sur l’utilisation d’une table de traction motorisée et contrôlée par un ordinateur. Confortablement allongé, le patient bénéficie d’une force de décompression appliquée avec une extrême précision le long de l’axe spinal. Cet étirement ciblé et intermittent génère une pression négative (un effet de « vide ») au cœur du disque intervertébral. Ce phénomène est crucial : il peut aider à rétracter le noyau d’une hernie discale, libérant ainsi la pression exercée sur les racines nerveuses. De plus, cet appel d’air favorise l’hydratation du disque et la circulation de l’oxygène et des nutriments, créant un environnement optimal pour la régénération et la guérison naturelle du tissu discal. La procédure est généralement indolore; de nombreux patients la décrivent même comme étant relaxante.
Les bienfaits de la décompression neurovertébrale sont multiples et bien documentés. Le principal avantage est un soulagement notable et durable de la douleur pour une grande majorité de patients. Sur le plan statistique, plusieurs études cliniques rapportent des taux de succès oscillant entre 85% et 90% pour les patients souffrant de douleurs lombaires liées à une hernie ou à une dégénérescence discale. Les bénéfices incluent :
Un protocole de traitement complet s’étend généralement sur plusieurs semaines, à raison de 15 à 25 séances d’environ 30 minutes chacune. Pour maximiser l’efficacité et assurer la stabilité des résultats à long terme, la décompression neurovertébrale est souvent intégrée dans un programme de soins global. Celui-ci peut inclure des ajustements chiropratiques, des exercices de renforcement et de stabilisation, ainsi que des conseils posturaux pour corriger les déséquilibres musculaires et prévenir les récidives. Cette approche holistique garantit non seulement la résolution de la crise douloureuse, mais aussi la promotion d’une santé vertébrale durable.
3. Étapes importantes avant la chirurgie : échec du traitement conservateur, examens nécessaires, critères de sélection
Lorsque les mesures conservatrices n’ont pas apporté de résultat satisfaisant, il convient d’envisager l’option chirurgicale. Cette section détaille quand et comment s’organise la préparation à une éventuelle intervention pour sténose lombaire.
Quand considère-t-on l’échec du traitement conservateur ? On parle d’échec du traitement non chirurgical lorsque, après 3 à 6 mois de physiothérapie intensive, de médication appropriée et éventuellement d’infiltrations, le patient ne constate pas d’amélioration significative de ses symptômes. Concrètement, si au bout de ce laps de temps le périmètre de marche reste très limité (quelques minutes seulement avant l’apparition de la claudication douloureuse), que la douleur et les engourdissements perturbent les activités quotidiennes et le sommeil, malgré une observance correcte du traitement conservateur, alors le traitement est considéré comme insuffisant. On n’attend pas forcément 6 mois si les symptômes s’aggravent rapidement ou deviennent intolérables : par exemple, l’apparition de signes neurologiques sévères (déficit moteur, compression du nerf sciatique avec paralysie naissante, troubles sphinctériens) est une indication d’accélérer l’évaluation chirurgicale. De même, une sténose très avancée confirmée à l’imagerie, avec une compression sévère de la queue-de-cheval, incitera à ne pas trop tarder. En résumé, c’est la persistance d’un handicap important en dépit des soins qui amène à considérer la chirurgie.
Examens préopératoires nécessaires : Avant de décider d’opérer, un bilan complet est indispensable pour confirmer l’indication et préparer l’intervention dans les meilleures conditions :
Imagerie de la colonne : Une IRM lombaire est l’examen de référence pour évaluer une sténose spinale. Elle permet de visualiser le rétrécissement du canal, de localiser précisément les zones de compression nerveuse (canal central, récessus latéraux, trous de conjugaison) et d’estimer sa sévérité. L’IRM fournit aussi des informations sur les disques intervertébraux et la présence éventuelle d’une hernie discale associée. En cas de contre-indication à l’IRM (pacemaker non compatible par ex.), un scanner lombaire (TDM) avec myélographie peut être utilisé pour voir le canal rachidien. Des radiographies dynamiques (clichés en flexion/extension du rachis lombaire) sont souvent demandées en complément afin de détecter une instabilité ou un spondylolisthésis mobile. Ces radios standard de profil permettent de vérifier s’il existe un glissement de vertèbre qui augmente en bougeant – ce qui orientera le type de chirurgie (puisque la présence d’une franche instabilité peut faire préférer une fusion dans certains cas). Enfin, des radiographies statiques de face et profil de la colonne lombo-sacrée permettent de mesurer les angles, l’alignement sagittal, et de repérer d’éventuelles déformations (scoliose associée, bascule pelvienne, etc.). L’ensemble de ce bilan d’imagerie constitue la cartographie sur laquelle le chirurgien s’appuiera pour planifier l’opération.
Évaluation médico-chirurgicale : Une consultation avec le chirurgien du rachis est réalisée pour examiner le patient, valider l’indication opératoire et expliquer les modalités de l’intervention. Le spécialiste revoit les images, confirme que la compression visualisée correspond bien aux symptômes (par exemple, sténose à L4-L5 concordant avec une sciatalgie L5), et décide du plan opératoire (choix du niveau à opérer, technique de décompression seule ou besoin d’une stabilisation, etc.). Le chirurgien vérifie également qu’il n’y a pas d’alternative moins invasive restante et discute avec le patient des bénéfices attendus vs les risques de la chirurgie. Par ailleurs, une consultation d’anesthésie est obligatoire quelques semaines avant l’intervention : l’anesthésiste fait un bilan de santé (examens sanguins, ECG, etc.), évalue la condition cardiorespiratoire, les médicaments en cours (certains anticoagulants devront être arrêtés avant l’opération, par ex.), et anticipe la prise en charge de la douleur postopératoire.
Critères de sélection et contre-indications : Il s’agit de s’assurer que le patient est médicalement apte et que son cas répond aux critères d’une chirurgie de décompression vertébrale avec ou sans stabilisation. Parmi les critères positifs : un patient en assez bonne santé générale (les comorbidités doivent être équilibrées), un âge physiologique compatible (au-delà de 80 ans on pèse avec plus d’attention le risque/bénéfice, même si l’âge chronologique seul n’est pas un obstacle absolu), et une atteinte focalisée sur un ou deux niveaux vertébraux maximum généralement. Des facteurs comme une obésité morbide, une ostéoporose sévère, ou une scoliose lombaire prononcée constituent des éléments de prudence. Par exemple, une densité osseuse insuffisante (ostéoporose avec T-score très bas) augmente le risque de mauvaise tenue des implants ou de fracture pendant la chirurgie, c’est donc une contre-indication relative ou absolue selon le degré. De même, une infection active (infection systémique ou spondylodiscite locale) doit faire différer toute chirurgie jusqu’à son traitement. Le chirurgien vérifie aussi l’étendue de la maladie : si plusieurs niveaux sont sévèrement atteints, la chirurgie sera plus lourde et parfois la stratégie diffère (on peut opter pour opérer en deux temps ou fusionner plusieurs vertèbres d’emblée dans certains cas de canal étroit multi-étagé). Enfin, le patient doit avoir une compréhension réaliste de la démarche : la chirurgie vise surtout à soulager les douleurs dans les jambes et à améliorer la mobilité, mais les douleurs lombaires chroniques peuvent ne pas disparaître totalement après l’opération. Cette sélection rigoureuse assure d’optimiser les chances de succès en opérant le bon patient, au bon moment, pour la bonne indication.
En pratique, une fois la décision opératoire prise, le patient entre dans le parcours pré-chirurgical : organisation de la date opératoire, préparation logistique (réservation hospitalisation), optimisation médicale préopératoire (par exemple, arrêt du tabac recommandé, physiothérapie de « préhabilitation » pour arriver en forme le jour J, etc.). Une checklist pré-opératoire est suivie (arrêt des anticoagulants à temps, douche antiseptique à faire la veille, jeûne le jour J, etc.). Le patient doit également anticiper son retour à domicile : prévoir une aide à la maison pour quelques jours, adapter son environnement (surélever les objets usuels, préparer des repas d’avance) afin de faciliter la convalescence. Toutes ces étapes font partie intégrante d’une prise en charge de qualité, en maximisant la sécurité et les résultats de la chirurgie à venir.
4. Traitement par implant IntraSPINE® (stabilisation dynamique non-fusionnelle, déroulement, rééducation, avantages, contre-indications)
Lorsqu’une chirurgie s’avère nécessaire, l’une des options innovantes proposée (notamment via le programme TAGMED) est la stabilisation dynamique à l’aide de l’implant IntraSPINE®. Cette technique chirurgicale vise à décompresser les nerfs en élargissant le canal lombaire, tout en stabilisant la colonne sans la bloquer définitivement (pas d’arthrodèse fusionnante classique). Nous détaillons ci-dessous le principe de l’IntraSPINE, le déroulement de l’intervention, le programme de rééducation postopératoire, ainsi que ses avantages et contre-indications.
Principe de la stabilisation dynamique non-fusionnelle (IntraSPINE®)
IntraSPINE® est un dispositif implantable de stabilisation dynamique du rachis lombaire, conçu comme une alternative moderne à la fusion vertébrale. Contrairement à l’arthrodèse qui supprime le mouvement entre deux vertèbres en les soudant définitivement, la philosophie de l’IntraSPINE est de maintenir une mobilité contrôlée au niveau opéré. Autrement dit, on ne bloque pas la colonne, on l’assiste. L’implant IntraSPINE se comporte comme un amortisseur élastique inséré à l’arrière de la colonne, qui va à la fois soulager la pression sur les disques et les nerfs, et soutenir la courbure lombaire (lordose) de façon naturelle. Techniquement, il s’agit d’un implant interlamaire : il est placé entre les lames de deux vertèbres adjacentes (juste derrière la moelle épinière). Cette position anatomique est stratégique, car elle est très proche de l’axe de rotation de la colonne lombaire. En étant au plus près du pivot du mouvement vertébral, l’IntraSPINE peut accompagner le mouvement normal du segment dans toutes les directions (flexion, extension) sans le bloquer abruptement. Cela le distingue des anciens espaceurs interépineux placés entre les apophyses épineuses, qui ne faisaient que limiter l’extension en agissant comme une cale arrière. Ici, l’IntraSPINE agit de façon plus physiologique sur l’ensemble de l’amplitude : il ouvre légèrement l’espace intervertébral et foraminal (là où passent les nerfs) pour décompresser, tout en amortissant les micro-mouvements excessifs. L’implant est constitué de matériaux biocompatibles de haute technologie : une cale en silicone médical (polydiméthylsiloxane) de forme triangulaire, recouverte d’un textile en polyester tissé. La partie avant de la cale (le “nez”) est ferme pour bien distracter l’espace entre les vertèbres et rouvrir les foramens (soulageant ainsi la compression des racines nerveuses), tandis que la partie arrière (le “tunnel”) est plus souple et compressible, jouant le rôle d’amortisseur qui absorbe les chocs sans bloquer l’extension du dos. Une sangle optionnelle en polyester peut être ajoutée autour des apophyses épineuses au-dessus et en dessous pour accroître la stabilité si nécessaire. L’ensemble silicone-textile est radiotransparent et compatible avec l’IRM (absence de ferromagnétique), seule une petite boucle en titane grade médical sert à verrouiller la sangle si elle est mise [7, 9]. IntraSPINE est fabriqué par Cousin Surgery (France), fort d’une longue expertise en dispositifs rachidiens innovants, et est certifié CE (classe IIb) pour le traitement des pathologies dégénératives lombaires. En résumé, l’IntraSPINE® permet de stabiliser le segment lombaire atteint tout en préservant une bonne partie de sa mobilité naturelle. On obtient ainsi les bénéfices d’une décompression nerveuse (les nerfs sont libérés, ce qui calme la sciatique et améliore la marche) sans l’inconvénient majeur d’une fusion (qui est la perte de mobilité et le stress reporté sur les niveaux adjacents). C’est donc une approche « non-fusionnelle » visant à réduire la douleur tout en prévenant la cascade dégénérative sur les disques voisins.
Déroulement de l’intervention chirurgicale IntraSPINE®
L’implantation de l’IntraSPINE® s’effectue lors d’une chirurgie mini-invasive sous anesthésie générale. L’intervention dure en moyenne 1 à 2 heures selon le nombre de niveaux à traiter. Voici les étapes principales du déroulement opératoire, du point de vue du patient :
Installation et anesthésie – Une fois en salle d’opération, le patient est installé allongé sur le ventre (décubitus ventral) sur la table, ce qui permet un accès postérieur à la colonne lombaire. L’anesthésie générale est induite par l’anesthésiste, endormant complètement le patient pendant toute la procédure.
Incision chirurgicale – Le chirurgien pratique une petite incision cutanée (environ 4 à 5 cm) dans le bas du dos, le plus souvent sur la ligne médiane. Il s’agit d’une ouverture nettement plus réduite que pour une chirurgie ouverte traditionnelle. Grâce à cette approche mini-invasive, l’atteinte musculaire est limitée : les muscles paravertébraux ne sont pas sectionnés mais simplement écartés délicatement à l’aide d’un écarteur tubulaire. Cela préserve au maximum les tissus environnants.
Décompression du canal – Une fois les vertèbres ciblées exposées, le chirurgien réalise la décompression nerveuse proprement dite. Ce geste consiste à élargir le canal rachidien en retirant les éléments qui compriment les nerfs : typiquement, on pratique une laminectomie ou une laminotomie (résection partielle de la lame vertébrale) et une foraminotomie (élargissement des foramens intervertébraux) pour libérer les racines nerveuses. Le ligament jaune épaissi est réséqué, et si une petite hernie discale est présente, elle peut être retirée au passage. L’objectif de cette étape est de libérer suffisamment d’espace pour que les nerfs ne soient plus pincés.
Insertion de l’implant IntraSPINE® – Après la décompression, le chirurgien prépare l’espace inter-vertébral postérieur pour l’implantation. Un petit instrument distracteur est introduit entre les deux lames osseuses afin de créer un espace adéquat. Le chirurgien insère d’abord une prothèse d’essai (implant factice de taille calibrée) pour vérifier que l’épaisseur choisie est appropriée et obtient la distraction voulue. Une fois la taille validée, l’implant définitif IntraSPINE (en silicone) est compressé à l’aide d’une pince spéciale puis glissé précisément dans l’espace interlamaire dégagé. Il reprend sa forme une fois en place, s’adaptant aux structures. L’implant est positionné de sorte que son “nez” ferme soit orienté vers l’avant (pour bien gainer l’espace et rouvrir le canal nerveux) et que la partie souple amortissante soit vers l’arrière.
Stabilisation additionnelle (si nécessaire) – Si le chirurgien estime qu’un renfort est indiqué (par exemple en présence d’une légère instabilité ou d’une résection articulaire importante pendant la décompression), il met en place la sangle de liaison en polyester. Cette bande textile est passée autour des apophyses épineuses de la vertèbre du dessus et du dessous, puis serrée à travers une boucle en titane pour solidariser l’ensemble. La sangle agit comme un ligament artificiel pour empêcher un écartement excessif des vertèbres en extension. Dans les cas de sténose pure sans instabilité, la sangle n’est pas forcément utilisée (l’implant seul peut suffire).
Fermeture et réveil – Les instruments sont retirés, les muscles auparavant écartés reprennent leur place (grâce à leur élasticité naturelle), et le chirurgien referme l’incision cutanée par des points de suture ou des agrafes. Un pansement stérile est placé sur la plaie. L’anesthésie est ensuite réversée et le patient est réveillé en salle de soins post-interventionnels.
L’intervention étant terminée, commence alors la phase de récupération post-opératoire.
Rééducation et récupération après chirurgie (parcours de soins post-opératoire)
La convalescence après une décompression + stabilisation IntraSPINE est généralement plus rapide et légère qu’après une chirurgie avec arthrodèse traditionnelle. Étant donné la nature mini-invasive de la procédure, les suites opératoires sont souvent marquées par moins de douleur et un lever plus précoce. Voici un chronogramme de récupération type après ce genre d’intervention, qui peut naturellement varier selon les individus mais donne une idée du parcours de soins post-chirurgical :
Phase post-opératoire | Évolution et consignes clés |
Premiers jours à l’hôpital | Douleur contrôlée par analgésie auto-contrôlée (pompe PCA morphine) les premières 24-48h, relayée par des antalgiques oraux classiques. Mobilisation précoce : lever aidé par un kinésithérapeute dès le jour suivant l’opération, afin de marcher quelques pas. La position assise est reprise progressivement. Pas de corset rigide requis dans la majorité des cas (sauf avis contraire du chirurgien). Durée d’hospitalisation typiquement de 3 à 5 jours, sensiblement plus courte qu’après une fusion lombaire. |
Semaines 1 à 3 (à domicile) | Repos relatif et protection du dos. Il faut éviter de se pencher en avant ou de fléchir excessivement le bas du dos pendant environ 3 semaines. Les activités autorisées se limitent à la marche légère et fréquente (quelques minutes plusieurs fois par jour, en augmentant progressivement la distance). Interdits : mouvements de torsion du tronc et port de charges >5 kg. Les soins de la cicatrice sont réalisés par une infirmière si nécessaire. |
Semaines 4 à 6 | Début de la physiothérapie ambulatoire vers la 4e semaine post-opératoire. Le kiné travaille d’abord en douceur : exercices de posture (apprendre à se tourner en bloc sans vriller le dos – technique du “log roll”, etc.), renforcement léger des muscles profonds (transverse abdominal, multifides). Reprise de la conduite automobile possible graduellement après 4-6 semaines, si le chirurgien l’autorise et que le patient ne prend plus d’antalgiques forts. Une visite post-opératoire de contrôle avec le chirurgien a lieu vers la 6e semaine pour évaluer la récupération et faire une imagerie de contrôle si besoin. |
Mois 2 à 3 | Reprise des activités sédentaires : beaucoup de patients peuvent retourner à un travail de bureau vers 8 semaines post-op si l’évolution est favorable. La physiothérapie se poursuit, avec un accent mis sur le renforcement musculaire progressif (gainage plus intense, travail des muscles paravertébraux) et le réentraînement à l’effort. La marche quotidienne est encouragée et allongée au fil des semaines. |
Mois 3 à 6 | Reprise des activités physiques modérées : si tout va bien, le patient peut envisager de reprendre des activités plus physiques ou des sports légers à partir du 3e mois, sous réserve de l’accord médical. On reste prudent sur les sports à fort impact ou les efforts de soulèvement lourds avant 6 mois. À 6 mois post-opératoires, en l’absence de complications, la plupart des restrictions sont levées progressivement. Le patient retrouve alors une vie active quasi normale, avec comme seules recommandations de maintenir une bonne hygiène de dos (exercices réguliers, éviter les excès qui pourraient abîmer d’autres niveaux, etc.). |
Pendant toute cette récupération, la surveillance médicale se poursuit : consultations de suivi (à 6 semaines, 3 mois, 6 mois, puis 1 an), pour s’assurer de la bonne fusion tissulaire et de l’efficacité de l’implant. Il est important de signaler que l’implant IntraSPINE n’entrave pas les examens futurs : il est tout à fait compatible avec une IRM, ce qui facilite le suivi radiologique si nécessaire. De plus, en cas d’échec ou de problème à long terme, la technique reste réversible : l’IntraSPINE peut être retiré et, si besoin, une fusion traditionnelle peut alors être réalisée secondairement, sans difficulté majeure. Heureusement, dans la majorité des cas, cette opération offre un véritable regain de mobilité et de qualité de vie, en réduisant drastiquement la douleur dans les jambes et en améliorant la capacité de marche du patient.
Avantages et contre-indications de l’IntraSPINE® par rapport à une fusion
Avantages de la décompression + IntraSPINE : Comparée à la chirurgie classique de fusion lombaire, l’approche avec IntraSPINE présente plusieurs avantages pour les patients appropriés :
Mobilité préservée : L’implant IntraSPINE permet de garder du mouvement au niveau opéré. Au lieu d’un segment complètement figé par une arthrodèse, on conserve une certaine flexion-extension (mesurée à ~3,4° dans les études) grâce à la stabilisation élastique. Le dos reste plus souple pour les gestes du quotidien. Ceci évite la sensation de “dos bloqué” et améliore le confort fonctionnel (par ex., se baisser est plus aisé qu’avec une arthrodèse).
Protection des niveaux adjacents : En maintenant du jeu au niveau traité, on évite le phénomène de report de contrainte sur les disques et vertèbres adjacents. Avec une fusion, les segments voisins sont sur-sollicités et peuvent s’user plus vite (c’est la dégénérescence accélérée adjacente). L’IntraSPINE, lui, n’augmente pas l’hyper-mobilité des étages adjacents – au contraire, la mobilité de ces segments reste proche de la normale d’avant opération. Résultat : dans une étude clinique comparative à 12 mois, aucun cas de dégénérescence adjacente nécessitant ré-intervention n’a été observé avec IntraSPINE, contre plusieurs cas dans le groupe fusion. À plus long terme, cela pourrait signifier moins de chirurgies additionnelles.
Soulagement de la douleur équivalent, voire supérieur : Les études montrent que les deux techniques (fusion vs IntraSPINE) soulagent efficacement la douleur et améliorent la capacité fonctionnelle des patients, avec une nette diminution des scores de douleur et d’incapacité après chirurgie dans les deux groupes. Cependant, un suivi à 12 mois a mis en évidence une diminution de la douleur légèrement meilleure dans le groupe IntraSPINE (score EVA moyen plus bas) par rapport au groupe arthrodèse. Les patients IntraSPINE retrouvent vite une qualité de vie élevée, car non seulement la sciatique est soulagée, mais la souplesse restante de la colonne leur permet de reprendre plus aisément leurs activités.
Chirurgie moins invasive et récupération plus rapide : L’implantation de l’IntraSPINE se fait par une petite incision avec peu de délabrement musculaire, d’où un saignement peropératoire réduit (en moyenne ~65 mL) comparé à une fusion où l’on pose des vis et cages (~82 mL). La durée d’hospitalisation s’en trouve écourtée (en moyenne ~9 jours avec IntraSPINE contre 11 jours pour une fusion dans une étude), et le retour à domicile est plus rapide. Le lever dès le lendemain et l’absence de corset facilitent une réhabilitation plus précoce. Globalement, le patient récupère sa mobilité plus vite qu’après une arthrodèse, où il faut attendre la consolidation osseuse sur plusieurs mois.
Possibilité de ré-intervention plus simple : En cas d’évolution ultérieure de la pathologie, l’approche dynamique est réversible. Si par exemple, quelques années plus tard, un autre niveau devait être opéré ou s’il fallait convertir en fusion (cas d’instabilité majeure secondaire), cela reste faisable relativement simplement. À l’inverse, une fois qu’une arthrodèse rigide est faite, la reprise chirurgicale est plus complexe (il faut parfois retirer du matériel, étendre la fusion, etc.). Le fait de ne pas poser de matériel rigide lourd initialement laisse toutes les options ouvertes pour l’avenir.
Il convient de noter que toute technique a ses limites et n’est pas indiquée pour tous les patients.
Contre-indications de l’IntraSPINE® : Les chirurgiens définissent des critères d’exclusion stricts pour garantir la sécurité. L’implant IntraSPINE est déconseillé ou interdit dans les situations suivantes (où une fusion classique serait probablement plus appropriée):
Allergie aux matériaux : si le patient présente une allergie avérée au silicone, au polyester ou au titane (constituants de l’implant), il ne peut pas recevoir IntraSPINE.
Patient trop jeune (croissance) : enfants ou adolescents en croissance, car leur colonne n’a pas fini son développement.
Infection active : toute infection en cours, locale (spondylodiscite) ou systémique, contre-indique temporairement l’implantation. Il faut d’abord traiter l’infection.
Grossesse en cours : on évite une telle chirurgie durant la grossesse, sauf urgence neurologique, pour des raisons évidentes de sécurité.
Ostéoporose sévère : une densité osseuse très basse compromet la fixation de l’implant et la solidité de la colonne, ce qui rend la stabilisation dynamique non fiable. Une arthrodèse renforcée serait alors indiquée si chirurgie indispensable, ou un traitement de l’ostéoporose préalable.
Instabilité majeure ou déformation importante : par exemple un spondylolisthésis de grade II+ (glissement avancé) ou une scoliose lombaire > 25° sont des situations où l’IntraSPINE seul ne suffirait pas. Dans ces cas, une fixation plus rigide (vis et barres) est généralement requise pour stabiliser la colonne.
Tumeur vertébrale au niveau à traiter : la présence d’une lésion tumorale vertébrale est une contre-indication, car la priorité sera l’exérèse de la tumeur et souvent une stabilisation rigide ensuite.
Pathologies générales non contrôlées : des maladies systémiques graves (ex: diabète non équilibré, troubles de la coagulation non corrigés) peuvent empêcher la chirurgie tant qu’elles ne sont pas stabilisées.
Obésité morbide : un IMC très élevé (>40) expose à des contraintes mécaniques fortes sur l’implant et à un risque accru de complications chirurgicales, ce qui contre-indique cette technique légère.
Addictions ou troubles psychiatriques non stabilisés : un patient toxicomane actif ou psychotique non traité n’est pas un bon candidat, car le suivi post-op et l’observance seraient compromis.
Exigences physiques extrêmes : un grand sportif de haut niveau ou un travailleur de force désirant reprendre des efforts intenses pourrait ne pas convenir à un implant souple, qui risquerait d’être sollicité au-delà de ses capacités. Dans de tels cas, une fusion traditionnelle solide peut être préférée pour sécuriser la colonne face à des contraintes importantes.
En dehors de ces situations, de nombreux patients avec sténose lombaire modérée à sévère associée ou non à une petite instabilité peuvent bénéficier de l’IntraSPINE. Chaque cas est évalué individuellement par l’équipe chirurgicale. L’essor de ces techniques dynamiques permet aujourd’hui à certains patients actifs de continuer à vivre sans arthrodèse et avec un dos plus mobile, ce qui constitue un progrès notable dans la prise en charge de la colonne dégénérative. (À savoir : La décompression avec IntraSPINE n’empêche pas d’autres gestes complémentaires si besoin. Par exemple, il est possible d’y associer la libération de plusieurs niveaux adjacents dans le même temps opératoire, ou de combiner IntraSPINE sur un niveau et fusion sur un autre si la situation l’exige. Il existe également des variantes de l’implantation – unilatérale sans sangle vs bilatérale avec sangle – en fonction du degré d’instabilité du patient.)
5. Quand envisager une chirurgie en France : indications, accès à des techniques spécialisées (TOPS, B-Dyn, ESP), expertise reconnue, avantages d’un parcours transatlantique
La décision de se faire opérer du dos à l’étranger (en France) peut être motivée par plusieurs facteurs, notamment l’accès à des techniques de pointe indisponibles localement ou des délais d’attente plus courts. La France, en particulier, bénéficie d’une réputation d’excellence en chirurgie rachidienne, avec des centres spécialisés à la pointe des innovations [10, 11, 12]. Cette section explique dans quelles situations un patient pourrait avantageusement aller se faire opérer en France, quels dispositifs ou techniques spécifiques y sont accessibles, quelles sont les équipes expertes reconnues, et quels sont les avantages d’un parcours de soins transatlantique en termes de rapidité, de qualité et de coût.
Situations cliniques indiquées pour un traitement en France : Si vous souffrez d’une pathologie lombaire complexe ou si vous souhaitez bénéficier d’une solution technologique particulière non proposée dans votre région, la France peut offrir des options uniques. Par exemple :
En cas de sténose lombaire associée à un spondylolisthésis dégénératif, il existe en France des alternatives à la fusion classique telles que le système TOPS™ (Total Posterior Spine). Le TOPS est un implant dynamique postérieur qui, après décompression des nerfs, stabilise la colonne tout en préservant le mouvement de flexion/extension/rotation. Il s’agit d’une prothèse de l’arc postérieur qui remplace les facettes et le ligament jaune par un dispositif articulé en titanium-polyuréthane. Ce système innovant a montré des résultats supérieurs à la fusion dans les études (meilleur soulagement de la douleur, récupération plus rapide, protection des niveaux adjacents). Actuellement, le TOPS n’est disponible que dans certains centres experts (il a obtenu l’approbation FDA aux États-Unis récemment, mais son usage reste limité). La France, grâce à la participation à des essais cliniques et une expérience de plus de 10 ans dans une clinique pilote, est un des endroits au monde où le TOPS a été le plus utilisé (plus de 400 patients opérés au Centre des Cèdres à Toulouse par exemple). Si votre cas est éligible au TOPS (sténose sur un seul niveau, spondylolisthésis grade I, bon état du disque, etc.), aller en France permet d’en bénéficier alors que peu de chirurgiens ailleurs le proposent encore.
En cas de discopathie dégénérative lombaire (usure du disque) associée à un canal lombaire étroit modéré, une solution sophistiquée développée en France est la prothèse de disque lombaire “ESP” (Elastic Spine Prosthesis). C’est un disque viscoélastique en polycarbonate-uréthane et titane, conçu pour remplacer un disque usé en préservant la mobilité du segment (arthroplastie). L’ESP est un disque de conception française (Laboratoires Spine Innovations, ex-Cousin Biotech). Il offre une alternative à la fusion pour les patients relativement jeunes souffrant surtout de douleurs discogéniques. En Amérique du Nord, les prothèses discales sont connues (ProDisc, Mobi-C, etc.) mais l’ESP a la particularité d’intégrer un noyau élastomère amortisseur unique. La plus grande expérience mondiale de l’ESP se trouve en France : la Clinique du Pré au Mans a plus de 1 500 patients opérés avec ce disque sur 15 ans, avec d’excellents résultats. Si votre cas correspond (atteinte de 1 ou 2 disques sans compression nerveuse extrême, âge 30-60 ans actif), vous pourrez trouver en France une expertise inégalée sur ce type d’arthroplastie lombaire.
En cas de faible instabilité segmentaire (spondylolisthésis léger, syndrome facettaire) ou pour un patient souhaitant éviter une arthrodèse, la France a également développé des systèmes de stabilisation dynamique autres que l’IntraSPINE. Par exemple, le B-Dyn est un système à vis pédiculaires couplées par une tige semi-rigide dynamique (en matériau élastomère). Il se pose comme une fixation classique mais offre un micro-jeu pour amortir les mouvements. Là aussi, des chirurgiens français ont participé à sa mise au point et son évaluation (notamment au CHU de Bordeaux qui a contribué au développement du B-Dyn). Un patient qui aurait une indication de vissage pédiculaire sans vouloir une fusion rigide pourrait bénéficier de ce dispositif disponible dans quelques centres français. De plus, pour les cas multi-étagés ou particuliers, la palette d’implants innovants est large en France (ex: dispositifs interépineux, cages dynamiques, etc.), permettant du sur-mesure.
En résumé, tout patient recherchant une option chirurgicale de pointe pour une pathologie du rachis lombaire – que ce soit pour éviter une fusion, traiter un cas complexe ou accéder à une prothèse spécifique – trouvera en France des centres disposant d’expertises uniques et d’implants de dernière génération. Naturellement, il faut que les indications soient remplies et qu’un chirurgien français accepte le cas après évaluation du dossier.
Centres d’excellence et expertises reconnues : La France possède plusieurs établissements renommés pour la chirurgie du dos. En voici quelques exemples notables, chacun ayant ses domaines de prédilection :
Le CHU de Bordeaux (Hôpital Pellegrin) : plus grand centre universitaire de rachis en France, reconnu mondialement. Équipe multidisciplinaire dirigée par des professeurs, publications de pointe, équipements high-tech (navigation chirurgicale, endoscopie rachidienne, etc.). Compétent pour toute la gamme de chirurgies (du la plus simple à la plus complexe), notamment scolioses sévères, tumeurs rachidiennes, reprises chirurgicales délicates. C’est un hôpital public, offrant un excellent rapport qualité/coût (tarifs secteur public).
La Clinique du Pré au Mans : centre privé à la pointe, réputé en particulier pour les prothèses de disque ESP (pionnier mondial). Le Dr. Jacky Vu y a développé l’ESP et traité des centaines de cas. On y réalise aussi toutes les chirurgies courantes du rachis.
La Clinique Oréliance à Orléans : référence internationale pour l’IntraSPINE – le chirurgien Dr. Jean-Charles Le Huec y a implanté plus de 5 000 IntraSPINE en 15 ans, faisant de ce centre le plus expérimenté au monde dans cette technique.
La Clinique des Cèdres à Toulouse : centre précurseur pour le système TOPS™, avec plus de 400 patients opérés sur 10 ans dans le cadre des études cliniques. L’équipe toulousaine (Dr. D. Moreau et collègues) a une expertise unique sur cet implant de préservation du mouvement.
La Clinique d’Occitanie (Toulouse) : spécialisée dans la chirurgie endoscopique de la colonne. Parfaite pour les hernies discales ou canaux étroits traités par caméra et micro-incisions, technique encore peu développée en Amérique du Nord.
D’autres centres renommés incluent la Clinique Bizet à Paris (centre privé renommé en rachis), le Centre du Dos de la clinique Francheville à Périgueux, etc., ainsi que des collaborations internationales (ex: le Harley Street Hospital à Londres pour la chirurgie ambulatoire du rachis).
Beaucoup de chirurgiens français sont membres de sociétés savantes européennes et participent à la recherche, ce qui garantit un niveau d’expertise élevé et une utilisation des techniques les plus à jour.
Avantages du parcours transatlantique (Canada → France) : Recourir à la France pour sa chirurgie du dos via un programme spécialisé (tel que TAGMED/NeuroMtl) présente plusieurs atouts concrets:
Délais d’accès réduits : Le système québécois ou canadien peut impliquer de longues attentes pour consulter un chirurgien ou obtenir une date d’opération. En passant par un réseau privé international, vous bénéficiez d’un accès prioritaire aux spécialistes français du rachis. Les délais pour une consultation d’expertise et pour l’intervention sont considérablement raccourcis. Cela signifie une prise en charge de votre problème en quelques semaines/mois plutôt qu’une attente indéfinie.
Expertise de haut niveau et technologies de pointe : En France, vous serez opéré par des chirurgiens orthopédistes ou neurochirurgiens chevronnés, qui réalisent un grand nombre d’interventions de ce type chaque année. Leur expérience spécifique (par ex. plus de 100 cas de TOPS, milliers d’arthrodèses et dynamiques) est gage de sécurité. De plus, les plateaux techniques sont ultra-modernes : navigation 3D, monitoring neurologique per-opératoire, implants de dernière génération… tout cela garantit que vous profitez des meilleures techniques disponibles au monde.
Coûts optimisés : Comparé aux frais d’une chirurgie privée en Amérique du Nord, le coût d’une intervention en France peut être inférieur, même en incluant le voyage. Le partenariat transatlantique permet une optimisation des coûts, et les cliniques françaises pratiquent des tarifs généralement inférieurs aux hôpitaux privés américains. Pour un patient canadien non assuré au privé, aller en France peut représenter une économie significative pour un niveau de soins équivalent voire supérieur.
Prise en charge personnalisée et complète : Des structures comme Neurothérapie Montréal/TAGMED proposent un accompagnement de A à Z. Cela comprend l’orientation médicale (bilans préop, envoi des imageries aux chirurgiens français partenaires), l’organisation logistique (réservation des vols, hébergement près de la clinique, transferts aéroport) et la coordination des soins avec l’équipe française. Vous n’êtes pas livré à vous-même : tout est planifié pour un parcours fluide, y compris le suivi post-opératoire à votre retour. Par exemple, après votre chirurgie en France, le réseau s’assure que vous ayez des rendez-vous de contrôle au Canada, que les comptes-rendus opératoires soient transmis à vos médecins locaux, etc. Ce continuum de soins garantit sécurité et sérénité.
Qualité des soins et confort : Les cliniques et hôpitaux français de renom offrent un confort hôtelier de haut niveau (chambres individuelles souvent disponibles, etc.) et un savoir-faire infirmier reconnu. La rééducation peut parfois être initiée sur place avec des kinés habitués aux protocoles post-op rachis. De plus, effectuer son traitement en France peut donner accès à des options comme la rééducation intensive en centre spécialisé après l’opération (séjour de 2-3 semaines dans un centre de réadaptation fonctionnelle, pris en charge pour les assurés européens, et accessible aux patients internationaux moyennant finance). Tout cela contribue à optimiser les résultats de votre chirurgie.
En choisissant une prise en charge en France, vous optez en somme pour la rapidité, l’excellence médicale et l’innovation technologique, à un coût potentiellement moindre qu’en restant en Amérique du Nord pour une solution équivalente. Il s’agit d’un investissement dans votre santé, avec l’assurance d’être traité par les meilleurs dans le domaine de la colonne vertébrale. Naturellement, un tel projet doit être bien préparé (dossier médical complet, avis d’aptitude à voyager, etc.), mais les organisations de tourisme médical sont là pour vous y aider. Nombre de patients ont déjà fait le choix de ce parcours transatlantique et ont pu ainsi retrouver plus vite une qualité de vie en profitant du savoir-faire français en chirurgie du dos.
En conclusion, la sténose spinale lombaire est une condition fréquente et potentiellement invalidante, mais pour laquelle il existe aujourd’hui un véritable arsenal thérapeutique. De la rééducation aux techniques chirurgicales les plus avancées, chaque patient peut bénéficier d’une prise en charge personnalisée. Ce guide vous a présenté de façon structurée les étapes et options disponibles : compréhension de la maladie, traitements conservateurs, critères menant à la chirurgie, description d’une alternative moderne avec IntraSPINE et les éléments comparatifs avec la fusion, enfin les solutions internationales si l’on souhaite le nec plus ultra en matière de chirurgie rachidienne. Armé de ces informations, vous êtes en mesure de discuter avec vos médecins des choix qui s’offrent à vous, en connaissance de cause. N’hésitez pas à poser des questions, à solliciter plusieurs avis, et à vous appuyer sur les données exposées (issus de sources cliniques et de l’expérience des centres spécialisés) pour prendre la décision la plus éclairée concernant votre colonne vertébrale. Votre parcours de soins, qu’il se déroule localement ou en France, a pour objectif final de vous redonner mobilité et soulagement, afin que la sténose lombaire ne dicte plus votre quotidien et que vous puissiez de nouveau “bouger sans douleur”. Nous vous souhaitons un prompt rétablissement sur ce chemin vers le mieux-être.
Sources : Ce guide a été réalisé à partir de publications spécialisées et de documents fournis (Présentation des services de chirurgie TAGMED 2025, Catalogue Cousin Spine 2023, fiches techniques SOS Tourisme Médical sur les implants TOPS™ et IntraSPINE®, documentation de Neurochirurgie Montréal et Medicia). Pour plus d’informations, référez-vous aux références citées entre crochets dans le texte, ou rapprochez-vous de votre professionnel de santé. Les données chiffrées et affirmations sont issues de ces sources et de la littérature scientifique associée.
Vos Questions les Plus Fréquentes (FAQ)
Conditions chirurgicales
Pour les patients atteints de syndrome des facettes articulaires, la chirurgie endoscopique est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
En France, la scoliose de l’adolescence peut être traitée par chirurgie percutanée, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Le traitement de la discopathie dégénérative en France par fusion TLIF fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
En France, la fractures vertébrales peut être traitée par fusion ALIF, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Pour les patients atteints de instabilité vertébrale, la chirurgie endoscopique est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
La chirurgie endoscopique est indiquée pour la ASD (Adjacent Segment Disease) lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
Pour les patients atteints de ASD (Adjacent Segment Disease), la arthrodèse lombaire est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
La prothèse discale utilisée pour traiter la kissing spine offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
En France, la canal lombaire étroit peut être traitée par arthrodèse lombaire, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
En France, la sténose foraminale peut être traitée par fusion ALIF, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La système TOPS™ utilisée pour traiter la canal lombaire étroit offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Le traitement de la scoliose de l’adolescence en France par chirurgie endoscopique fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La arthrodèse lombaire utilisée pour traiter la pseudarthrose offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
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En France, la kissing spine peut être traitée par chirurgie endoscopique, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
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La chirurgie endoscopique utilisée pour traiter la hernie discale lombaire offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
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Pour les patients atteints de myélopathie cervicarthrosique, la chirurgie percutanée est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
En France, la myélopathie cervicarthrosique peut être traitée par arthrodèse lombaire, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La système TOPS™ utilisée pour traiter la ASD (Adjacent Segment Disease) offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
En France, la syndrome des facettes articulaires peut être traitée par chirurgie endoscopique, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
En France, la fractures vertébrales peut être traitée par fusion ALIF, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La chirurgie endoscopique est indiquée pour la ASD (Adjacent Segment Disease) lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
La prothèse discale utilisée pour traiter la kissing spine offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
En France, la scoliose de l’adolescence peut être traitée par prothèse discale, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Le traitement de la discopathie dégénérative en France par implant Intraspine® fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
Le traitement de la instabilité vertébrale en France par fusion TLIF fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La implant Intraspine® est indiquée pour la discopathie dégénérative lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
Le traitement de la ASD (Adjacent Segment Disease) en France par implant Intraspine® fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La fusion TLIF utilisée pour traiter la ASD (Adjacent Segment Disease) offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Le traitement de la discopathie dégénérative en France par fusion TLIF fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
En France, la syndrome des facettes articulaires peut être traitée par implant Intraspine®, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Pour les patients atteints de fractures vertébrales, la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Oui, la prothèse discale cervicale est une alternative à la fusion qui permet de maintenir la mobilité du cou tout en soulageant la douleur due à une hernie cervicale.
Le traitement de la hernie discale lombaire en France par arthrodèse lombaire fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
Le traitement de la canal lombaire étroit en France par chirurgie percutanée fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
Le traitement de la kissing spine en France par prothèse discale fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La fusion TLIF utilisée pour traiter la discopathie dégénérative offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
En France, la kissing spine peut être traitée par chirurgie percutanée, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Pour les patients atteints de sténose foraminale, la chirurgie percutanée est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
La système TOPS™ utilisée pour traiter la ASD (Adjacent Segment Disease) offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
La fusion ALIF est indiquée pour la scoliose de l’adolescence lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
En France, la syndrome des facettes articulaires peut être traitée par chirurgie endoscopique, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La prothèse discale est indiquée pour la discopathie dégénérative lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
Pour les patients atteints de fractures vertébrales, la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Pour les patients atteints de myélopathie cervicarthrosique, la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Le spondylolisthésis peut être traité par fusion (ex: TLIF, ALIF) ou, dans certains cas, par des dispositifs de préservation du mouvement comme TOPS™, selon le degré de glissement et les symptômes.
Le traitement de la discopathie dégénérative en France par implant Intraspine® fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La implant Intraspine® est indiquée pour la discopathie dégénérative lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
La fusion TLIF utilisée pour traiter la ASD (Adjacent Segment Disease) offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
La système TOPS™ est indiquée pour la fractures vertébrales lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
En France, la myélopathie cervicarthrosique peut être traitée par arthrodèse lombaire, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La fusion ALIF utilisée pour traiter la canal lombaire étroit offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
En France, la sténose foraminale peut être traitée par système TOPS™, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Le traitement de la kissing spine en France par chirurgie percutanée fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
Pour les patients atteints de syndrome des facettes articulaires, la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
En France, la ASD (Adjacent Segment Disease) peut être traitée par chirurgie percutanée, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
En France, la discopathie dégénérative peut être traitée par système TOPS™, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
En France, la kissing spine peut être traitée par arthrodèse lombaire, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Oui, plusieurs centres en France offrent des chirurgies pour la scoliose de l’adulte, incluant des techniques de fusion multi-étages ou des approches par endoscopie pour décompresser les nerfs.
En France, la kissing spine peut être traitée par chirurgie percutanée, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
En France, la sténose foraminale peut être traitée par système TOPS™, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Pour les patients atteints de syndrome des facettes articulaires, la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Pour les patients atteints de syndrome des facettes articulaires, la système TOPS™ est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
En France, la syndrome des facettes articulaires peut être traitée par implant Intraspine®, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Pour les patients atteints de discopathie dégénérative, la chirurgie percutanée est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Pour les patients atteints de fractures vertébrales, la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
La arthrodèse lombaire utilisée pour traiter la syndrome des facettes articulaires offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Oui, la prothèse discale cervicale est une alternative à la fusion qui permet de maintenir la mobilité du cou tout en soulageant la douleur due à une hernie cervicale.
La arthrodèse lombaire utilisée pour traiter la discopathie dégénérative offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
En France, la sténose foraminale peut être traitée par chirurgie endoscopique, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
En France, la canal lombaire étroit peut être traitée par chirurgie endoscopique, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Les prothèses discales comme LP-ESP® ou CP-ESP® sont utilisées pour remplacer un disque lombaire dégénératif tout en maintenant la mobilité du segment rachidien.
En France, la pseudarthrose peut être traitée par chirurgie percutanée, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La implant Intraspine® est indiquée pour la myélopathie cervicarthrosique lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
En France, la pseudarthrose peut être traitée par chirurgie endoscopique, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
En France, la discopathie dégénérative peut être traitée par prothèse discale, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
En France, la pseudarthrose peut être traitée par chirurgie percutanée, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Pour les patients atteints de syndrome des facettes articulaires, la chirurgie endoscopique est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
La implant Intraspine® est indiquée pour la myélopathie cervicarthrosique lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
En France, la scoliose de l’adolescence peut être traitée par chirurgie percutanée, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
En France, la pseudarthrose peut être traitée par chirurgie endoscopique, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
En France, la scoliose de l’adolescence peut être traitée par prothèse discale, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Pour les patients atteints de instabilité vertébrale, la implant Intraspine® est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Le traitement de la fractures vertébrales en France par fusion TLIF fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La sténose lombaire est un rétrécissement du canal rachidien qui comprime les nerfs. En France, elle peut être traitée par chirurgie de décompression, parfois accompagnée d’un implant comme TOPS™ ou Intraspine®, pour soulager la douleur et préserver la mobilité.
La implant Intraspine® utilisée pour traiter la canal lombaire étroit offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
La fusion TLIF utilisée pour traiter la canal lombaire étroit offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
En France, la fractures vertébrales peut être traitée par implant Intraspine®, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Le traitement de la discopathie dégénérative en France par fusion ALIF fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
Pour les patients atteints de fractures vertébrales, la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
La arthrodèse lombaire est indiquée pour la fractures vertébrales lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
Pour les patients atteints de myélopathie cervicarthrosique, la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Pour les patients atteints de sténose foraminale, la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Le spondylolisthésis peut être traité par fusion (ex: TLIF, ALIF) ou, dans certains cas, par des dispositifs de préservation du mouvement comme TOPS™, selon le degré de glissement et les symptômes.
La fusion TLIF utilisée pour traiter la discopathie dégénérative offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
La chirurgie endoscopique utilisée pour traiter la hernie discale lombaire offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
La fusion TLIF est indiquée pour la scoliose de l’adolescence lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
Pour les patients atteints de ASD (Adjacent Segment Disease), la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
La fusion TLIF utilisée pour traiter la pseudarthrose offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Le traitement de la pseudarthrose en France par chirurgie endoscopique fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La arthrodèse lombaire utilisée pour traiter la pseudarthrose offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
La implant Intraspine® utilisée pour traiter la canal lombaire étroit offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
La chirurgie endoscopique utilisée pour traiter la scoliose de l’adolescence offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
La fusion TLIF utilisée pour traiter la canal lombaire étroit offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
En France, la kissing spine peut être traitée par chirurgie endoscopique, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
En France, la fractures vertébrales peut être traitée par implant Intraspine®, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La système TOPS™ est indiquée pour la fractures vertébrales lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
En France, la myélopathie cervicarthrosique peut être traitée par prothèse discale, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La implant Intraspine® est indiquée pour la fractures vertébrales lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
Pour les patients atteints de instabilité vertébrale, la fusion TLIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Le traitement de la pseudarthrose en France par fusion TLIF fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
En France, la fractures vertébrales peut être traitée par arthrodèse lombaire, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Le traitement de la syndrome des facettes articulaires en France par prothèse discale fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
En France, la discopathie dégénérative peut être traitée par système TOPS™, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La chirurgie endoscopique est indiquée pour la syndrome des facettes articulaires lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
En France, la kissing spine peut être traitée par arthrodèse lombaire, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La fusion TLIF utilisée pour traiter la pseudarthrose offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Oui, plusieurs centres en France offrent des chirurgies pour la scoliose de l’adulte, incluant des techniques de fusion multi-étages ou des approches par endoscopie pour décompresser les nerfs.
Pour les patients atteints de syndrome des facettes articulaires, la système TOPS™ est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Pour les patients atteints de sténose foraminale, la chirurgie percutanée est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
La fusion ALIF est indiquée pour la scoliose de l’adolescence lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
Pour les patients atteints de instabilité vertébrale, la chirurgie endoscopique est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Pour les patients atteints de ASD (Adjacent Segment Disease), la arthrodèse lombaire est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
En France, la canal lombaire étroit peut être traitée par arthrodèse lombaire, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Le traitement de la pseudarthrose en France par chirurgie endoscopique fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
Pour les patients atteints de ASD (Adjacent Segment Disease), la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
En France, la kissing spine peut être traitée par fusion TLIF, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La fusion TLIF utilisée pour traiter la pseudarthrose offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
En France, la canal lombaire étroit peut être traitée par fusion TLIF, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Le traitement de la pseudarthrose en France par chirurgie endoscopique fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
En France, la discopathie dégénérative peut être traitée par prothèse discale, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Pour les patients atteints de discopathie dégénérative, la chirurgie percutanée est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
La arthrodèse lombaire utilisée pour traiter la syndrome des facettes articulaires offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
La chirurgie percutanée utilisée pour traiter la hernie discale lombaire offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Le traitement de la syndrome des facettes articulaires en France par arthrodèse lombaire fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
Le traitement de la kissing spine en France par chirurgie endoscopique fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La fusion TLIF est indiquée pour la kissing spine lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
En France, la sténose foraminale peut être traitée par chirurgie endoscopique, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Le traitement de la canal lombaire étroit en France par prothèse discale fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
En France, la canal lombaire étroit peut être traitée par chirurgie endoscopique, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
La système TOPS™ utilisée pour traiter la scoliose de l’adolescence offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Les prothèses discales comme LP-ESP® ou CP-ESP® sont utilisées pour remplacer un disque lombaire dégénératif tout en maintenant la mobilité du segment rachidien.
Le traitement de la discopathie dégénérative en France par fusion ALIF fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La arthrodèse lombaire est indiquée pour la fractures vertébrales lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
Pour les patients atteints de sténose foraminale, la fusion ALIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
Le traitement de la instabilité vertébrale en France par fusion TLIF fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
Le traitement de la ASD (Adjacent Segment Disease) en France par implant Intraspine® fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
Le traitement de la pseudarthrose en France par système TOPS™ fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La arthrodèse lombaire utilisée pour traiter la hernie discale lombaire offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Pour les patients atteints de instabilité vertébrale, la fusion TLIF est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
La chirurgie endoscopique utilisée pour traiter la instabilité vertébrale offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Le traitement de la pseudarthrose en France par fusion TLIF fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La chirurgie percutanée utilisée pour traiter la canal lombaire étroit offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
En France, la fractures vertébrales peut être traitée par arthrodèse lombaire, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Le traitement de la syndrome des facettes articulaires en France par prothèse discale fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La chirurgie endoscopique est indiquée pour la syndrome des facettes articulaires lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
La fusion TLIF utilisée pour traiter la pseudarthrose offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
La fusion ALIF utilisée pour traiter la canal lombaire étroit offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Le traitement de la kissing spine en France par chirurgie percutanée fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
Pour les patients atteints de myélopathie cervicarthrosique, la chirurgie percutanée est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
En France, la sténose foraminale peut être traitée par fusion ALIF, une technique reconnue pour ses résultats cliniques et sa capacité à préserver la fonction rachidienne.
Pour les patients atteints de instabilité vertébrale, la implant Intraspine® est souvent proposée dans les centres spécialisés en raison de son efficacité démontrée sur la douleur et la récupération.
La système TOPS™ utilisée pour traiter la canal lombaire étroit offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Le traitement de la fractures vertébrales en France par fusion TLIF fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
Le traitement de la scoliose de l’adolescence en France par chirurgie endoscopique fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La sténose lombaire est un rétrécissement du canal rachidien qui comprime les nerfs. En France, elle peut être traitée par chirurgie de décompression, parfois accompagnée d’un implant comme TOPS™ ou Intraspine®, pour soulager la douleur et préserver la mobilité.
La fusion TLIF est indiquée pour la kissing spine lorsqu’un traitement conservateur a échoué. Elle permet un soulagement efficace tout en réduisant les risques de complications post-opératoires.
Le traitement de la canal lombaire étroit en France par prothèse discale fait partie d’un parcours structuré avec évaluation initiale, chirurgie mini-invasive et suivi post-opératoire personnalisé.
La système TOPS™ utilisée pour traiter la scoliose de l’adolescence offre une solution moderne avec de meilleurs résultats fonctionnels comparativement à la chirurgie traditionnelle.
Vos Questions les Plus Fréquentes (FAQ)
Sténose Spinale
La rétrécissement du canal rachidien peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la chirurgie endoscopique du canal rachidien représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
Grâce à une approche ciblée, la fusion postérieure avec décompression permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
La claudication neurogène peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la chirurgie endoscopique du canal rachidien représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La laminectomie est souvent indiquée lorsque la douleur à la marche causée par une sténose ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La compression médullaire peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la chirurgie de recalibrage du canal représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
En cas de douleur invalidante résistante, claudication sévère ou début de troubles sphinctériens (incontinence).
La chirurgie endoscopique du canal rachidien est souvent indiquée lorsque la sténose spinale cervicale ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Grâce à une approche ciblée, la laminectomie permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
La fusion postérieure avec décompression est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une sténose spinale cervicale.
Grâce à une approche ciblée, la décompression spinale mini-invasive permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
Chez les patients souffrant de rétrécissement du canal rachidien, la décompression spinale mini-invasive permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
Grâce à une approche ciblée, la chirurgie endoscopique du canal rachidien permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
Laminectomie ou laminoplastie pour élargir le canal, parfois associée à une arthrodèse si instabilité présente.
La engourdissements liés à une sténose spinale peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la laminectomie représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La laminectomie est souvent indiquée lorsque la sténose spinale lombaire ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La chirurgie endoscopique du canal rachidien est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une engourdissements liés à une sténose spinale.
La laminotomie ciblée est souvent indiquée lorsque la compression médullaire ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La sténose spinale cervicale peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la laminectomie représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La fusion postérieure avec décompression est souvent indiquée lorsque la douleur à la marche causée par une sténose ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Marche précoce dès le lendemain, retour au travail léger en 4 à 6 semaines et activités sportives après 3 mois.
La fusion postérieure avec décompression est souvent indiquée lorsque la engourdissements liés à une sténose spinale ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Grâce à une approche ciblée, la décompression spinale mini-invasive permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
La fusion postérieure avec décompression est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une claudication neurogène.
La engourdissements liés à une sténose spinale peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la chirurgie de recalibrage du canal représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La chirurgie endoscopique du canal rachidien est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une compression médullaire.
Chez les patients souffrant de sténose spinale lombaire, la laminectomie permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
5 à 15 % de récidive liée à la progression arthrosique ou à l’épaississement ligamentaire restant.
Chez les patients souffrant de rétrécissement du canal rachidien, la chirurgie de recalibrage du canal permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
Grâce à une approche ciblée, la laminotomie ciblée permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
Grâce à une approche ciblée, la chirurgie de recalibrage du canal permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
La laminotomie ciblée est souvent indiquée lorsque la compression médullaire ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La claudication neurogène peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la laminectomie représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La fusion postérieure avec décompression est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une claudication neurogène.
Maintien d’une bonne posture, renforcement musculaire, gestion du poids et suivi radiologique régulier.
Chez les patients souffrant de compression médullaire, la chirurgie de recalibrage du canal permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
La laminotomie ciblée est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une compression médullaire.
Chez les patients souffrant de sténose multisegmentaire, la décompression spinale mini-invasive permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
La fusion postérieure avec décompression est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une claudication neurogène.
La douleur à la marche causée par une sténose peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la fusion postérieure avec décompression représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
Grâce à une approche ciblée, la décompression spinale mini-invasive permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
La engourdissements liés à une sténose spinale peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la laminectomie représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La fusion postérieure avec décompression est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une claudication neurogène.
Grâce à une approche ciblée, la décompression spinale mini-invasive permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
La laminotomie ciblée est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une sténose multisegmentaire.
La chirurgie de recalibrage du canal est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une sténose spinale cervicale.
Chez les patients souffrant de douleur à la marche causée par une sténose, la chirurgie de recalibrage du canal permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
La chirurgie de recalibrage du canal est souvent indiquée lorsque la claudication neurogène ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Grâce à une approche ciblée, la chirurgie endoscopique du canal rachidien permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
Chez les patients souffrant de douleur à la marche causée par une sténose, la fusion postérieure avec décompression permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
La claudication neurogène peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la laminotomie ciblée représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La fusion postérieure avec décompression est souvent indiquée lorsque la compression médullaire ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Grâce à une approche ciblée, la décompression spinale mini-invasive permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
La engourdissements liés à une sténose spinale peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la chirurgie endoscopique du canal rachidien représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La rétrécissement du canal rachidien peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la laminectomie représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La fusion postérieure avec décompression est souvent indiquée lorsque la douleur à la marche causée par une sténose ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La laminotomie ciblée est souvent indiquée lorsque la claudication neurogène ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La fusion postérieure avec décompression est souvent indiquée lorsque la rétrécissement du canal rachidien ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Grâce à une approche ciblée, la fusion postérieure avec décompression permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
La décompression spinale mini-invasive est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une rétrécissement du canal rachidien.
La décompression spinale mini-invasive est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une compression médullaire.
La fusion postérieure avec décompression est souvent indiquée lorsque la sténose spinale lombaire ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La laminectomie est souvent indiquée lorsque la sténose multisegmentaire ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Chez les patients souffrant de claudication neurogène, la chirurgie de recalibrage du canal permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
La laminectomie est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une sténose multisegmentaire.
La chirurgie de recalibrage du canal est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une douleur à la marche causée par une sténose.
Grâce à une approche ciblée, la chirurgie de recalibrage du canal permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
Chez les patients souffrant de engourdissements liés à une sténose spinale, la laminotomie ciblée permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
La chirurgie de recalibrage du canal est souvent indiquée lorsque la claudication neurogène ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La fusion postérieure avec décompression est souvent indiquée lorsque la claudication neurogène ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Chez les patients souffrant de rétrécissement du canal rachidien, la fusion postérieure avec décompression permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
La chirurgie endoscopique du canal rachidien est souvent indiquée lorsque la rétrécissement du canal rachidien ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Chez les patients souffrant de claudication neurogène, la chirurgie endoscopique du canal rachidien permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
La rétrécissement du canal rachidien peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la décompression spinale mini-invasive représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La laminotomie ciblée est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une claudication neurogène.
La engourdissements liés à une sténose spinale peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la laminotomie ciblée représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
C’est un rétrécissement du canal rachidien, central ou latéral, entraînant une compression de la moelle épinière ou des racines nerveuses.
La chirurgie de recalibrage du canal est souvent indiquée lorsque la sténose multisegmentaire ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La décompression spinale mini-invasive est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une sténose spinale lombaire.
Grâce à une approche ciblée, la laminectomie permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
La chirurgie de recalibrage du canal est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une sténose multisegmentaire.
La chirurgie endoscopique du canal rachidien est souvent indiquée lorsque la sténose spinale cervicale ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Douleurs lombaires irradiant aux membres inférieurs, faiblesse, engourdissements, claudication neurogène (fatigue à la marche).
La décompression spinale mini-invasive est souvent indiquée lorsque la rétrécissement du canal rachidien ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La sténose spinale cervicale peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la chirurgie de recalibrage du canal représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La laminotomie ciblée est souvent indiquée lorsque la compression médullaire ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Chez les patients souffrant de sténose multisegmentaire, la chirurgie endoscopique du canal rachidien permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
Grâce à une approche ciblée, la chirurgie de recalibrage du canal permet de décomprimer la moelle ou les racines nerveuses sans altérer la stabilité vertébrale.
Par IRM du rachis pour visualiser la réduction du calibre du canal, parfois complétée par un scanner ou une myélographie.
La fusion postérieure avec décompression est souvent indiquée lorsque la douleur à la marche causée par une sténose ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La claudication neurogène peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la laminectomie représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La décompression spinale mini-invasive est souvent indiquée lorsque la engourdissements liés à une sténose spinale ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
La décompression spinale mini-invasive est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une rétrécissement du canal rachidien.
La chirurgie de recalibrage du canal est souvent indiquée lorsque la sténose spinale cervicale ne répond plus aux traitements conservateurs comme la physiothérapie ou les infiltrations.
Dégénérescence discale, hypertrophie des facettes articulaires, ligamentum flavum épaissi, spondylolisthésis ou anomalies congénitales.
Chez les patients souffrant de sténose spinale cervicale, la laminectomie permet de réduire les douleurs, engourdissements et troubles de la marche.
La fusion postérieure avec décompression est utilisée pour élargir le canal rachidien et soulager la compression nerveuse causée par une compression médullaire.
La sténose spinale lombaire peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la fusion postérieure avec décompression représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La douleur à la marche causée par une sténose peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la fusion postérieure avec décompression représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
La douleur à la marche causée par une sténose peut provoquer des limitations fonctionnelles importantes, et la décompression spinale mini-invasive représente une solution efficace et durable dans de nombreux cas.
Kinésithérapie, étirements, décompression neurovertébrale, infiltrations épidurales et prise en charge antalgique adaptée.









