Guide pratique du patient québécois – FAQ & Parcours de soins
Introduction : Votre parcours vers la guérison, expliqué en toute transparence
Vous songez à entreprendre ce parcours de soins en France? Cette décision, bien que porteuse d’un immense espoir, s’accompagne naturellement d’une foule de questions, d’incertitudes et de détails logistiques qui peuvent sembler intimidants. Comment cela fonctionne-t-il concrètement? Qui sont mes interlocuteurs? Comment le voyage est-il organisé? Que se passe-t-il après mon retour au Québec?
Nous comprenons parfaitement ces interrogations. C’est pourquoi nous avons créé ce guide pratique. Considérez-le comme votre feuille de route personnelle, conçue pour éclairer chaque étape de votre voyage médical, de votre premier appel jusqu’à votre suivi à long terme. Notre philosophie repose sur une transparence totale et un accompagnement humain. Nous croyons qu’un patient bien informé est un patient confiant, et qu’un patient confiant est un patient qui guérit mieux.
Dans les sections qui suivent, nous allons détailler le parcours de soins étape par étape, puis répondre de manière exhaustive aux questions les plus fréquentes que nous posent les patients québécois. Notre objectif est de démystifier le processus, de vous donner une vision claire et précise de ce qui vous attend, et de vous montrer que cette démarche, bien qu’extraordinaire, est avant tout un projet maîtrisé, sécuritaire et profondément humain.
Parcours de soins étape par étape : Votre chemin vers le soulagement
Notre processus est structuré en sept étapes claires, conçues pour assurer une prise en charge fluide et sans stress. À chaque étape, vous êtes accompagné par notre équipe franco-québécoise.
1. Prise de contact initiale (Québec) : Le premier pas
Tout commence par vous, et par votre décision de ne plus subir la douleur. Vous pouvez nous joindre par téléphone, par courriel ou via le formulaire de contact sur notre site web. Nul besoin d’une référence médicale formelle de votre médecin de famille; nous accueillons directement les patients qui cherchent une solution.
Dès ce premier contact, un infirmier-coordinateur québécois, comme Louis-François, prendra le relais. En tant que professionnel de la santé du Québec, il comprend parfaitement votre réalité et votre parcours. Son rôle est d’abord de vous écouter, puis de constituer un dossier médical complet et clair. Comme il l’explique lui-même : « Nous, on travaille le bon diagnostic pour la bonne approche chirurgicale ». Il s’agit de bien cerner votre problème pour l’orienter vers le bon expert en France. Cette évaluation initiale est entièrement sans frais et sans engagement de votre part.
Liste 1 : Les éléments de votre dossier complet
Pour une évaluation précise, votre coordinateur vous demandera de rassembler les éléments suivants :
Rapports d’imagerie : Les comptes-rendus écrits de vos IRM, CT-Scans (TDM) et radiographies les plus récents.
Images médicales : Le plus important, les images elles-mêmes, généralement sur un CD ou accessibles via un portail en ligne. C’est ce que le chirurgien analysera en détail.
Historique médical : Un résumé de vos symptômes, de leur évolution, des traitements déjà essayés (physiothérapie, infiltrations, médicaments) et de leur efficacité (ou inefficacité).
Liste de vos médicaments et allergies.
Rapports de consultations antérieures avec des spécialistes (neurochirurgien, orthopédiste, rhumatologue, etc.), si vous en avez.
Une fois votre dossier constitué, il sera transmis de manière sécurisée à l’un de nos chirurgiens partenaires en France, sélectionné spécifiquement pour son expertise dans votre pathologie.
2. Téléconsultation avec le chirurgien français : La rencontre clé
Dans la grande majorité des cas, le chirurgien français souhaitera vous rencontrer « virtuellement » avant de finaliser son plan. Nous organiserons donc une téléconsultation en vidéoconférence. Pour tenir compte du décalage horaire, ces rendez-vous ont souvent lieu en fin de matinée pour vous au Québec, ce qui correspond à la fin de journée en France.
Ce moment est absolument crucial. Vous pourrez échanger directement, en français, avec le spécialiste qui pourrait vous opérer. Il vous expliquera son analyse de votre dossier, vous confirmera le diagnostic, vous détaillera l’intervention qu’il recommande et répondra à toutes vos questions, des plus techniques aux plus personnelles. C’est l’occasion pour vous de juger non seulement de sa compétence, mais aussi de son empathie et de sa capacité à communiquer clairement.
À l’issue de cet entretien, si une chirurgie est indiquée, vous recevrez un plan de traitement personnalisé, incluant un devis détaillé et transparent, ainsi que des informations sur la durée d’hospitalisation prévue, la convalescence, etc. Vous restez entièrement libre de votre décision. Il n’y a aucune pression, aucune obligation.
3. Organisation du voyage et du séjour : La logistique simplifiée
Si vous donnez votre accord, notre équipe passe en mode planification. Nous coordonnons avec le secrétariat du chirurgien et la clinique en France pour fixer une date opératoire qui vous convient. En général, nous visons un délai de 4 à 6 semaines après votre décision, mais nous pouvons nous adapter à vos contraintes. Certains patients, dans des situations plus urgentes, ont été opérés en moins de deux semaines, tandis que d’autres ont préféré planifier leur intervention plusieurs mois à l’avance.
Vous devrez réserver vos billets d’avion. De nombreuses destinations en France sont facilement accessibles, avec des vols directs quotidiens vers Paris, et des vols saisonniers directs vers des villes comme Bordeaux ou Toulouse. Un passeport canadien valide est la seule pièce requise; aucun visa n’est nécessaire pour un séjour médical de courte durée.
Tableau 1 : Durée de séjour recommandée en France (à titre indicatif)
Nous vous conseillerons également sur les options d’hébergement pour vous et votre accompagnateur. Nous pouvons vous suggérer des hôtels situés à quelques pas de la clinique, souvent avec des tarifs préférentiels pour nos patients, ou des appartements meublés pour plus d’autonomie. À Bordeaux, par exemple, des chambres d’hôtes de qualité avec service de conciergerie sont disponibles à proximité de l’hôpital.
4. Arrivée en France et consultation préopératoire : La prise de contact réelle
À votre arrivée en France, tout est prévu. Vous serez accueilli à la clinique la veille ou le jour même de votre chirurgie pour la consultation préopératoire. C’est votre première rencontre en personne avec le chirurgien et l’anesthésiste. Ils effectueront un dernier examen physique, vérifieront vos imageries originales, vous réexpliqueront en détail le déroulement de l’intervention et recueilleront votre consentement éclairé. C’est aussi à ce moment que les derniers examens nécessaires (prise de sang, électrocardiogramme) seront réalisés. Pendant toute cette phase, votre coordinateur québécois restera en contact avec vous par téléphone ou messagerie pour s’assurer que votre arrivée et votre admission se déroulent parfaitement.
5. Chirurgie et hospitalisation : Entre des mains expertes
Le grand jour. Vous serez pris en charge par une équipe infirmière française attentionnée et professionnelle. L’intervention se déroulera dans un bloc opératoire à la fine pointe de la technologie. Le fait d’être un patient international n’a absolument aucun impact sur la qualité des soins; vous recevrez le même traitement d’excellence que n’importe quel patient français.
Après l’opération, vous passerez par la salle de réveil pour une surveillance attentive. Selon la lourdeur de l’intervention, vous serez ensuite transféré soit dans une chambre standard, soit, pour les chirurgies les plus complexes, en unité de soins intensifs pour une surveillance rapprochée (c’est une mesure de sécurité standard, même en l’absence de complications). La gestion de la douleur est une priorité absolue. Vous recevrez tous les analgésiques nécessaires pour assurer votre confort. La durée d’hospitalisation varie de quelques heures pour une endoscopie à 5-7 jours pour une fusion majeure. Le wifi est disponible dans la plupart des chambres, vous permettant de rester en contact avec vos proches.
6. Récupération et suivi sur place : La convalescence en douceur
Une fois que vous quittez la clinique, il est fortement recommandé de rester quelques jours de plus en France avant de prendre un long vol de retour. Cette période de convalescence initiale dans un hôtel ou un appartement confortable vous permet de vous reposer, de commencer à marcher et de reprendre des forces. Certains en profitent même pour faire un peu de tourisme léger, si leur état le permet. Une petite promenade en ville ou un bon repas dans un restaurant local peuvent faire des merveilles pour le moral!
Avant votre départ, vous aurez un dernier rendez-vous de contrôle avec votre chirurgien. Il s’assurera que tout est en ordre pour votre voyage. Vous recevrez un dossier complet incluant votre compte-rendu opératoire, des instructions écrites claires pour votre retour à domicile, et les ordonnances nécessaires pour vos médicaments.
Notre service ne s’arrête pas lorsque vous montez dans l’avion. De retour à la maison, nous continuons de vous accompagner.
Liaison avec votre médecin de famille : Avec votre accord, nous transmettrons le compte-rendu opératoire à votre médecin traitant pour assurer une continuité des soins.
Disponibilité continue : Votre coordinateur québécois reste votre point de contact pour toute question post-opératoire.
Suivi avec le chirurgien français : Nous organisons les suivis à distance (par courriel ou visioconférence) aux moments clés (par exemple à 3 mois, 1 an). Si une radiographie de contrôle est nécessaire, nous vous guiderons pour l’obtenir ici au Québec.
Gestion des imprévus : Bien que rares, les complications peuvent survenir. En cas de souci, vous n’êtes pas seul. Nous avons un protocole clair pour vous faire évaluer rapidement et pour assurer la communication entre les équipes médicales québécoises et françaises.
Nous communiquons avec votre médecin traitant pour lui fournir le contexte chirurgical et l’aider à gérer la situation.
Problème plus sérieux (ex: fièvre élevée, douleur anormale et persistante)
Contacter votre coordinateur ET vous rendre à l’urgence de l’hôpital le plus proche.
Nous nous mettons en contact avec l’équipe de l’urgence pour leur transmettre le compte-rendu opératoire et faciliter la communication avec le chirurgien français.
Complication majeure (extrêmement rare)
Vous rendre à l’urgence. Votre proche contacte votre coordinateur.
Liste 2 : Votre checklist de documents et communication pour le voyage
Passeport : Valide pour au moins 6 mois après votre date de retour.
Dossier médical : Apportez une copie de vos rapports et surtout, les images (CD/USB) de vos examens (IRM, etc.).
Liste de médicaments : La liste complète de vos médicaments habituels.
Ordonnances : Les prescriptions pour vos médicaments personnels pour la durée du séjour.
Assurance voyage : Une copie de votre police et le numéro d’assistance 24/7.
Contacts d’urgence : La liste des numéros de téléphone de vos proches et de notre équipe.
Communication : Un téléphone portable fonctionnel. Renseignez-vous sur les forfaits d’itinérance ou prévoyez acheter une carte SIM locale à votre arrivée.
Q : La RAMQ ou mes assurances privées couvrent-elles les frais?
R : C’est une question cruciale. La RAMQ ne rembourse pas les soins planifiés (non urgents) reçus à l’étranger. Vous devez donc prévoir assumer les coûts vous-même. Concernant les assurances privées, la couverture varie énormément. Certaines peuvent rembourser une partie des frais hospitaliers, mais rarement la totalité. Il est impératif de contacter votre assureur avant toute démarche. Si votre situation découle d’un accident de travail (CNESST) ou de la route (SAAQ), ces organismes ne financent généralement pas les opérations hors Québec. Nous savons que c’est un investissement important, et nous nous efforçons de garantir le meilleur rapport qualité-prix, notamment en optant pour d’excellents hôpitaux publics lorsque c’est approprié. Des options de financement peuvent être discutées. N’oubliez pas que la quasi-totalité de ces frais sont admissibles à d’importants crédits d’impôt.
Q : Puis-je être accompagné?
R : Oui, et nous le recommandons fortement, surtout pour une chirurgie majeure. La présence d’un proche est un soutien moral inestimable et une aide pratique précieuse dans les jours suivant l’opération. Votre accompagnateur peut loger avec vous à l’hôtel, et certaines cliniques offrent même la possibilité d’un lit d’appoint en chambre. Si vous voyagez seul, soyez sans crainte : notre équipe et le personnel soignant de la clinique veilleront à ce que vous ne manquiez de rien.
Q : Et si des complications surviennent une fois de retour au Québec?
R : C’est une crainte légitime. Comme détaillé dans le tableau ci-dessus, vous n’êtes jamais laissé à vous-même. Notre protocole de suivi est conçu pour gérer toute éventualité. En cas de problème, votre coordinateur québécois est votre premier point de contact. Il assurera la liaison avec votre médecin de famille ou, si nécessaire, vous guidera vers les bonnes ressources ici, tout en maintenant une communication ouverte avec le chirurgien français. Notre réseau franco-québécois assume pleinement le suivi post-opératoire.
Q : Comment se passe le règlement des frais médicaux?
R : La transparence est notre règle d’or. Le processus financier vous sera expliqué en détail avant tout engagement. Généralement, un acompte est requis pour réserver votre date opératoire, souvent par virement bancaire international. Le solde est réglé juste avant ou après l’intervention, directement à la clinique. À la fin de votre séjour, vous recevrez toutes les factures officielles et acquittées, nécessaires pour vos réclamations d’assurance privée et vos déclarations de revenus. Notre équipe administrative vous accompagnera à chaque étape de ce processus.
Liste 3 : Les avantages d’être accompagné
Soutien moral : Avoir un visage familier à ses côtés avant et après une opération est extrêmement rassurant.
Aide pratique : Votre accompagnateur peut vous aider pour les petits gestes du quotidien (porter un sac, vous aider à vous habiller), ce qui favorise votre repos.
Sécurité : Il peut donner l’alerte rapidement en cas de malaise ou de problème.
Logistique : Il peut s’occuper des courses, des repas et de la communication avec la famille au Québec, vous laissant vous concentrer sur votre guérison.
Prêt à faire le grand saut?
Ce guide a, nous l’espérons, répondu à vos principales interrogations. Si des questions subsistent, n’hésitez jamais à nous contacter. Notre mission est de rendre votre parcours vers la guérison aussi fluide, sécuritaire et rassurant que possible.
En terminant, posez-vous cette simple question : dans un an, préférez-vous être encore sur une liste d’attente, à gérer votre douleur au quotidien, ou être en pleine possession de vos moyens, ayant laissé la douleur derrière vous? Si la seconde option vous interpelle, alors vous êtes prêt à explorer cette solution.
Ne laissez pas les délais dicter votre qualité de vie. Offrez-vous la chance d’accéder, en France, au soin qui changera votre vie. Nous nous occupons du reste.
Vos Questions les Plus Fréquentes (FAQ)
Logistique de l’organisation de la chirurgie du rachis
Idéalement entre 2 et 4 semaines avant la date prévue.
Par téléconsultation avec le chirurgien ou un rapport médical envoyé à votre médecin traitant.
Oui, un devis complet comprend honoraires, frais de bloc, implants et hospitalisation.
Oui, le devis global inclut l’anesthésiste, sauf mention contraire.
Elle est validée par le chirurgien après évaluation clinique et recommandations de sortie.
Oui, une téléconsultation peut être organisée pour valider le dossier et répondre à vos questions.
Une infirmière, un coordonnateur ou le chirurgien lui-même vous remettra une fiche de préparation détaillée.
Une infirmière, un coordonnateur ou le chirurgien lui-même vous remettra une fiche de préparation détaillée.
Non, plusieurs centres partenaires peuvent être proposés selon la spécialité et la localisation géographique.
Oui, sur demande, vos IRM ou scanners peuvent être copiés sur support numérique.
Oui, une consultation de suivi ou un contact téléphonique est prévu selon le protocole établi.
Un ou deux suivis sont généralement inclus. Les consultations supplémentaires peuvent être facturées.
Le processus commence par une évaluation médicale avec analyse des imageries et des antécédents.
Oui, dans la mesure des disponibilités du bloc opératoire et de l’équipe chirurgicale.
Oui, il est fortement recommandé d’avoir un accompagnant, surtout pour le retour à domicile.
Oui, un devis complet comprend honoraires, frais de bloc, implants et hospitalisation.
Elle est validée par le chirurgien après évaluation clinique et recommandations de sortie.
Un coordinateur médical gère la communication entre le chirurgien, l’anesthésiste et les autres intervenants.
Il est fortement recommandé d’arrêter de fumer au moins 4 semaines avant l’intervention pour optimiser la cicatrisation.
Un suivi par téléconsultation ou un rapport médical transmis à votre professionnel local est prévu.
C’est parfois possible sur demande, ou via des photos envoyées par la clinique.
Oui, selon les horaires et la politique de l’établissement (souvent limitée à certaines heures).
Oui, une consultation de suivi ou un contact téléphonique est prévu selon le protocole établi.
Oui, un numéro ou un courriel de suivi est fourni dans les documents de sortie.
Votre condition doit être évaluée médicalement et considérée comme opérable hors du cadre RAMQ.
Oui, une consultation avec le chirurgien est indispensable pour confirmer l’indication opératoire.
Oui, il est fortement recommandé d’avoir un accompagnant, surtout pour le retour à domicile.
Des hôtels à proximité sont généralement proposés ou réservés par la coordination.
Elle est déterminée en fonction de l’évaluation médicale et des disponibilités du bloc opératoire.
Elle est déterminée en fonction de l’évaluation médicale et des disponibilités du bloc opératoire.
Oui, une téléconsultation peut être organisée pour valider le dossier et répondre à vos questions.
Cela dépend de votre condition et de votre type de travail. Votre chirurgien vous conseillera selon votre dossier.
Il est fortement recommandé d’arrêter de fumer au moins 4 semaines avant l’intervention pour optimiser la cicatrisation.
C’est parfois possible sur demande, ou via des photos envoyées par la clinique.
Oui, des vêtements confortables, faciles à enfiler, des pantoufles antidérapantes et vos articles d’hygiène personnelle.
Les patients sont généralement admis entre 6h30 et 9h00 le matin de l’intervention.
Oui, un rapport détaillé est envoyé pour assurer un bon suivi post-opératoire.
Oui, un rapport de diagnostic et de traitement peut être généré pour justifier le remboursement.
IRM, scanner, radiographies, et parfois bilan sanguin et cardiaque.
Oui, dans la mesure des disponibilités du bloc opératoire et de l’équipe chirurgicale.
Oui, un devis complet comprend honoraires, frais de bloc, implants et hospitalisation.
Oui, un formulaire de consentement éclairé est exigé avant toute chirurgie.
Oui, certains médicaments comme les anticoagulants doivent être arrêtés, sur avis médical.
Oui, un devis détaillé vous sera remis après l’analyse de votre dossier médical et des imageries.
Oui, une téléconsultation peut être organisée pour valider le dossier et répondre à vos questions.
Un suivi par téléconsultation ou un rapport médical transmis à votre professionnel local est prévu.
En communiquant directement avec le service de coordination ou le service à la clientèle du centre.
En général avant 11 h, sauf avis contraire de l’équipe médicale.
Non, plusieurs centres partenaires peuvent être proposés selon la spécialité et la localisation géographique.
Oui, un numéro ou un courriel de suivi est fourni dans les documents de sortie.
Idéalement entre 2 et 4 semaines avant la date prévue.
Des hôtels à proximité sont généralement proposés ou réservés par la coordination.
Oui, les frais de transport sont à la charge du patient sauf indication contraire dans le contrat.
Oui, un formulaire de consentement éclairé est exigé avant toute chirurgie.
Oui, le devis global inclut l’anesthésiste, sauf mention contraire.
Le délai varie entre 2 à 6 semaines selon la disponibilité du chirurgien et l’urgence de la condition.
Le choix se fait en fonction de votre pathologie, de l’imagerie et des préférences techniques du chirurgien.
Oui, un dépôt ou le paiement complet est souvent requis avant l’admission, selon les politiques du centre.
Oui, les services administratifs peuvent vous orienter vers un transport adapté selon votre état.
Oui, les services administratifs peuvent vous orienter vers un transport adapté selon votre état.
Oui, des vêtements confortables, faciles à enfiler, des pantoufles antidérapantes et vos articles d’hygiène personnelle.
Oui, pour les patients venant de l’étranger, une lettre de justification médicale peut être fournie.
Oui, dans la mesure des disponibilités du bloc opératoire et de l’équipe chirurgicale.
Oui, selon l’urgence et les places disponibles, dans un délai de 2 à 6 semaines.
En moyenne 7 à 14 jours incluant l’admission, l’opération, et les soins post-opératoires.
Oui, le devis global inclut l’anesthésiste, sauf mention contraire.
Le délai varie entre 2 à 6 semaines selon la disponibilité du chirurgien et l’urgence de la condition.
Dans la mesure du possible, le choix du centre tient compte de vos préférences et de la disponibilité des équipes.
Un suivi par téléconsultation ou un rapport médical transmis à votre professionnel local est prévu.
C’est parfois possible sur demande, ou via des photos envoyées par la clinique.
Oui, il est possible d’obtenir un deuxième ou un troisième avis pour valider l’indication opératoire.
Oui, un parcours de soins avec coordination complète est offert pour les patients venant de l’étranger.
Oui, un numéro ou un courriel de suivi est fourni dans les documents de sortie.
Ils incluent les honoraires, le matériel, les frais de salle et parfois les soins infirmiers post-opératoires.
Le processus commence par une évaluation médicale avec analyse des imageries et des antécédents.
Oui, selon l’urgence et les places disponibles, dans un délai de 2 à 6 semaines.
Oui, un formulaire de consentement éclairé est exigé avant toute chirurgie.
Il organise les rendez-vous, gère les documents médicaux, l’hébergement et répond aux questions logistiques.
Oui, un devis détaillé vous sera remis après l’analyse de votre dossier médical et des imageries.
Oui, un devis détaillé vous sera remis après l’analyse de votre dossier médical et des imageries.
Cela dépend de votre condition et de votre type de travail. Votre chirurgien vous conseillera selon votre dossier.
Oui, un dépôt ou le paiement complet est souvent requis avant l’admission, selon les politiques du centre.
En communiquant directement avec le service de coordination ou le service à la clientèle du centre.
Oui, un service multilingue est offert dans plusieurs centres partenaires.
Oui, des vêtements confortables, faciles à enfiler, des pantoufles antidérapantes et vos articles d’hygiène personnelle.
Oui, une estimation approximative peut être fournie dès le début sur demande.
Le processus commence par une évaluation médicale avec analyse des imageries et des antécédents.
Oui, les frais de transport sont à la charge du patient sauf indication contraire dans le contrat.
Oui, les frais de transport sont à la charge du patient sauf indication contraire dans le contrat.
Oui, certains médicaments comme les anticoagulants doivent être arrêtés, sur avis médical.
Oui, certains médicaments comme les anticoagulants doivent être arrêtés, sur avis médical.
Cela dépend de votre condition et de votre type de travail. Votre chirurgien vous conseillera selon votre dossier.
Le choix se fait en fonction de votre pathologie, de l’imagerie et des préférences techniques du chirurgien.
Oui, la sécurité du patient prime. Une nouvelle date sera proposée dès que l’état de santé le permettra.
Oui, il suffit de le signaler à l’avance pour que des repas adaptés soient prévus durant l’hospitalisation.
Oui, il inclut le compte rendu opératoire, les recommandations et le plan de suivi.
Non, l’IRM ou le scanner sont généralement réalisés à part et à vos frais, sauf en centre public.
Oui, toutes les données sont protégées conformément aux lois sur la protection de la vie privée.
Oui, selon l’urgence et les places disponibles, dans un délai de 2 à 6 semaines.
Oui, pour les patients à l’étranger ou dans un contexte privé, une demande de devis est souvent exigée.
Il organise les rendez-vous, gère les documents médicaux, l’hébergement et répond aux questions logistiques.
Il organise les rendez-vous, gère les documents médicaux, l’hébergement et répond aux questions logistiques.
Généralement 1 à 2 heures avant l’heure prévue d’entrée au bloc.
Oui, un avis chirurgical formel est nécessaire pour valider l’indication opératoire.
Oui, un dépôt ou le paiement complet est souvent requis avant l’admission, selon les politiques du centre.
En communiquant directement avec le service de coordination ou le service à la clientèle du centre.
Oui, il inclut le compte rendu opératoire, les recommandations et le plan de suivi.
Non, l’IRM ou le scanner sont généralement réalisés à part et à vos frais, sauf en centre public.
Oui, mais il est recommandé d’apporter des vêtements de rechange et des effets personnels.
Le tarif varie, mais en général entre 10 et 30 $ selon le support demandé.
Oui, une consultation avec le chirurgien est indispensable pour confirmer l’indication opératoire.
L’équipe médicale ou le coordinateur patient prend en charge la réservation après confirmation.
En moyenne 7 à 14 jours incluant l’admission, l’opération, et les soins post-opératoires.
Oui, un parcours spécifique est mis en place pour les patients internationaux.
Généralement 1 à 2 heures avant l’heure prévue d’entrée au bloc.
Le choix se fait en fonction de votre pathologie, de l’imagerie et des préférences techniques du chirurgien.
Oui, l’équipe de coordination peut aider à organiser le transport, l’hébergement et les soins post-opératoires.
Non, l’ordre de passage est déterminé par le bloc opératoire selon des critères médicaux et logistiques.
En général, une fois le dossier complet, le délai est de 5 à 15 jours ouvrables pour la confirmation.
Oui, les services administratifs peuvent vous orienter vers un transport adapté selon votre état.
Oui, un agent ou un coordonnateur peut vous assister dans ces démarches.
Oui, un itinéraire avec dates et consignes vous est remis dès que tout est confirmé.
Oui, pour les patients à l’étranger ou dans un contexte privé, une demande de devis est souvent exigée.
En moyenne 7 à 14 jours incluant l’admission, l’opération, et les soins post-opératoires.
Non, une période de repos en clinique ou de convalescence est recommandée.
Généralement 1 à 2 heures avant l’heure prévue d’entrée au bloc.
Documents d’identité, imagerie, effets personnels et liste de vos médicaments.
Dans la mesure du possible, le choix du centre tient compte de vos préférences et de la disponibilité des équipes.
Oui, la sécurité du patient prime. Une nouvelle date sera proposée dès que l’état de santé le permettra.
Oui, il suffit de le signaler à l’avance pour que des repas adaptés soient prévus durant l’hospitalisation.
Oui, sur demande, vos IRM ou scanners peuvent être copiés sur support numérique.
En général entre 4 et 8 semaines selon la pathologie et la disponibilité des blocs opératoires.
Oui, en avertissant l’équipe au moins 48 h à l’avance pour libérer le créneau opératoire.
Oui, certains centres offrent des modalités de paiement échelonné ou par financement tiers.
Oui, une consultation avec le chirurgien est indispensable pour confirmer l’indication opératoire.
Oui, pour les patients à l’étranger ou dans un contexte privé, une demande de devis est souvent exigée.
Par téléconsultation avec le chirurgien ou un rapport médical envoyé à votre médecin traitant.
Oui, un parcours spécifique est mis en place pour les patients internationaux.
Dans la mesure du possible, le choix du centre tient compte de vos préférences et de la disponibilité des équipes.
Oui, l’équipe de coordination peut aider à organiser le transport, l’hébergement et les soins post-opératoires.
Oui, l’équipe de coordination peut aider à organiser le transport, l’hébergement et les soins post-opératoires.
Oui, la sécurité du patient prime. Une nouvelle date sera proposée dès que l’état de santé le permettra.
Oui, il suffit de le signaler à l’avance pour que des repas adaptés soient prévus durant l’hospitalisation.
Oui, en avertissant l’équipe au moins 48 h à l’avance pour libérer le créneau opératoire.
Non, l’IRM ou le scanner sont généralement réalisés à part et à vos frais, sauf en centre public.
Oui, les modes de paiement acceptés incluent souvent carte, virement bancaire et chèque certifié.
IRM, scanner, radiographies, et parfois bilan sanguin et cardiaque.
Oui, il est fortement recommandé d’avoir un accompagnant, surtout pour le retour à domicile.
Oui, un parcours spécifique est mis en place pour les patients internationaux.
Rapport médical, IRM, carte d’assurance, pièce d’identité et questionnaire préopératoire.
Documents d’identité, imagerie, effets personnels et liste de vos médicaments.
Un coordinateur médical gère la communication entre le chirurgien, l’anesthésiste et les autres intervenants.
Oui, une consultation pré-anesthésique est obligatoire et peut être faite en présentiel ou à distance.
Oui, selon les horaires et la politique de l’établissement (souvent limitée à certaines heures).
Oui, cela ne vous empêche pas de conserver votre place dans le système public.
Oui, il inclut le compte rendu opératoire, les recommandations et le plan de suivi.
Oui, en avertissant l’équipe au moins 48 h à l’avance pour libérer le créneau opératoire.
Oui, une facture complète et officielle est remise pour vos assurances ou déclarations fiscales.
IRM, scanner, radiographies, et parfois bilan sanguin et cardiaque.
Non, une période de repos en clinique ou de convalescence est recommandée.
Non, une période de repos en clinique ou de convalescence est recommandée.
Rapport médical, IRM, carte d’assurance, pièce d’identité et questionnaire préopératoire.
Elle est validée par le chirurgien après évaluation clinique et recommandations de sortie.
Oui, un avis chirurgical formel est nécessaire pour valider l’indication opératoire.
Non, l’ordre de passage est déterminé par le bloc opératoire selon des critères médicaux et logistiques.
Une infirmière, un coordonnateur ou le chirurgien lui-même vous remettra une fiche de préparation détaillée.
Oui, selon les horaires et la politique de l’établissement (souvent limitée à certaines heures).
Oui, sur demande, vos IRM ou scanners peuvent être copiés sur support numérique.
Il faut contacter votre médecin traitant ou le centre d’imagerie pour en obtenir une copie rapidement.
Non, sauf entente spécifique, l’hébergement est à la charge du patient.
Idéalement entre 2 et 4 semaines avant la date prévue.
L’équipe médicale ou le coordinateur patient prend en charge la réservation après confirmation.
Par téléconsultation avec le chirurgien ou un rapport médical envoyé à votre médecin traitant.
Elle est déterminée en fonction de l’évaluation médicale et des disponibilités du bloc opératoire.
Oui, un avis chirurgical formel est nécessaire pour valider l’indication opératoire.
Oui, une consultation pré-anesthésique est obligatoire et peut être faite en présentiel ou à distance.
Oui, une consultation pré-anesthésique est obligatoire et peut être faite en présentiel ou à distance.
Non, l’ordre de passage est déterminé par le bloc opératoire selon des critères médicaux et logistiques.
En général avant 11 h, sauf avis contraire de l’équipe médicale.
Oui, une visite virtuelle ou physique peut être organisée selon les règles sanitaires en vigueur.
Oui, une consultation de suivi ou un contact téléphonique est prévu selon le protocole établi.
Oui, sur preuve médicale et avec un préavis raisonnable, il n’y a généralement pas de frais d’annulation.
L’équipe médicale ou le coordinateur patient prend en charge la réservation après confirmation.
Des hôtels à proximité sont généralement proposés ou réservés par la coordination.
Rapport médical, IRM, carte d’assurance, pièce d’identité et questionnaire préopératoire.
Documents d’identité, imagerie, effets personnels et liste de vos médicaments.
Le délai varie entre 2 à 6 semaines selon la disponibilité du chirurgien et l’urgence de la condition.
Un coordinateur médical gère la communication entre le chirurgien, l’anesthésiste et les autres intervenants.
Il est fortement recommandé d’arrêter de fumer au moins 4 semaines avant l’intervention pour optimiser la cicatrisation.
En général avant 11 h, sauf avis contraire de l’équipe médicale.
Oui, il est possible de reporter en avertissant l’équipe au moins 72 heures à l’avance.
Non, plusieurs centres partenaires peuvent être proposés selon la spécialité et la localisation géographique.
Oui, tant que les règles de confidentialité sont respectées.
Oui, dans les établissements hospitaliers, une équipe infirmière assure le suivi en continu.
Vos Questions les Plus Fréquentes (FAQ)
Évaluation pré-opératoire à la chirurgie du rachis
Oui, surtout si vous êtes opéré en ambulatoire.
Oui, si vous avez des symptômes urinaires, un ECBU est réalisé pour traiter une infection avant la chirurgie.
Oui, pour s’assurer de l’absence d’infection active et reporter la chirurgie si nécessaire.
Non systématiquement, sauf en cas d’immunodépression connue.
Non obligatoire, mais une évaluation ostéopathique peut aider à optimiser l’alignement rachidien préopératoire.
Oui, pour ajuster le suivi et réduire le risque de complications postopératoires.
Oui, votre équipe médicale vous prescrira une prise de sang, un ECG, et parfois un bilan respiratoire ou cardiaque selon votre état de santé.
Oui, mais prudemment et selon les instructions du personnel médical.
Oui, un dépistage peut être proposé pour adapter les précautions universelles et la gestion peropératoire.
Non routinièrement, seulement si des anomalies biologiques le suggèrent.
Oui, si votre dernier rappel date de plus de 10 ans.
Oui, si vous avez présenté des symptômes ou un historique de morsure de tique.
Oui, si vous avez des antécédents allergiques, un bilan spécifique est réalisé pour éviter tout choc anaphylactique.
Oui, une imagerie récente est essentielle pour planifier la chirurgie.
Faire de l’exercice doux peut améliorer votre récupération postopératoire.
Oui, un T-score permet d’évaluer la densité osseuse et de prévoir la fixation des implants.
Oui, pour optimiser le contrôle glycémique et réduire le risque de complications infectieuses.
Oui, une spirométrie est souvent prescrite pour ajuster l’anesthésie en cas de BPCO.
Oui, pour adapter le protocole analgésique postopératoire et prévenir la douleur chronique.
Oui, un bilan ORL est parfois nécessaire pour planifier l’intubation et éviter les complications.
Oui, surtout si vous avez plus de 40 ans ou des antécédents cardiaques.
Oui, c’est une réaction naturelle. Parlez-en à l’équipe soignante.
Oui, pour réduire le risque de complication respiratoire postopératoire, les vaccinations doivent être à jour.
Oui, chez les femmes en âge de procréer pour éviter tout risque teratogène.
Oui, un test 72 h avant et parfois un rappel le jour même selon le protocole local.
Oui, car une anémie préopératoire augmente le risque de transfusion et retarde la cicatrisation.
Oui, il peut être prescrit pour dépister un diabète de type 2 non diagnostiqué.
Oui, une consultation d’anesthésie est obligatoire pour évaluer les risques et adapter l’anesthésie.
Oui, il faut informer immédiatement votre équipe médicale pour reporter l’intervention.
Non systématiquement, sauf si vous avez des antécédents d’allergie à un anesthésique.
Oui, si vous êtes sous corticothérapie prolongée, un bilan est nécessaire pour prévenir l’insuffisance surrénalienne.
Oui, pour évaluer la fonction cognitive et le risque de confusion postopératoire.
Oui, pour éviter une répétition inutile des tests si vous en avez déjà réalisés.
Oui, chez les patients à risque, un soutien psychologique préopératoire aide à prévenir l’instabilité émotionnelle.
Certains médicaments doivent être arrêtés. Suivez les indications de l’anesthésiste.
Oui, en cas d’apnée du sommeil, une prise en charge spécifique est nécessaire (CPAP, surveillance postopératoire).
Oui, en cas de pathologie thyroïdienne connue, un bilan TSH, T3, T4 permet d’ajuster le traitement.
Oui, pour éviter que des lésions actives ne contaminent le site opératoire.
Non routinièrement, seulement si des facteurs de risque sont identifiés.
Oui, en cas d’antécédents familiaux de troubles de la coagulation.
Oui, en cas de symptômes urinaires, un bilan urodynamique est nécessaire pour planifier la prise en charge postopératoire.
Oui, arrêter de fumer réduit les risques de complications et favorise une meilleure cicatrisation.
Oui, pour corriger d’éventuelles carences et optimiser votre statut nutritionnel pour la cicatrisation.
Oui, si vous avez des antécédents cardiaques ou plus de 50 ans, un bilan cardiologique (échocardiographie, épreuve d’effort) peut être demandé.
Oui, en cas de difficultés respiratoires ou anatomiques prévues.
Oui, un état d’hydratation optimal est essentiel pour la stabilité hémodynamique.
Oui, pour prévenir les risques d’aspiration lors de l’anesthésie générale.
Oui, pour corriger tout état de dénutrition et favoriser une bonne cicatrisation.
Oui, il est recommandé d’éviter l’alcool dans les jours précédant la chirurgie.
Oui, certains compléments (ail, ginkgo, ginseng) peuvent interagir avec l’anesthésie et altérer la coagulation.
Oui, un dépistage nasal peut être fait pour diminuer le risque d’infection du site opératoire.
Oui, une pression artérielle stable est essentielle pour minimiser les risques peropératoires.
Non systématiquement, sauf en cas de symptomatologie évocatrice de pancréatite.
Oui, de nombreuses équipes proposent un cours d’éducation pour expliquer le déroulement, la gestion de la douleur et les exercices post-opératoires.
Oui, un bilan hépatique complet peut être prescrit pour détecter des anomalies rares mais significatives.
Vous devez vous laver avec un savon antiseptique la veille et le matin de l’intervention.
Oui, un examen dentaire permet de prévenir les complications infectieuses liées à des foyers dentaires.
Oui, un bilan psychologique est parfois proposé pour évaluer la capacité à gérer la douleur et l’anxiété.
Oui, pour s’assurer que la fonction thyroïdienne est équilibrée.
Non, sauf si des antécédents gastro-intestinaux le nécessitent.
Oui, un questionnaire (ODI, SF-36) permet d’évaluer votre état fonctionnel et de mesurer l’impact de la chirurgie.
Oui, pour préparer votre domicile et identifier les aides techniques nécessaires au retour à domicile.
Non, ne vous rasez pas. Cela sera fait de façon sécuritaire par l’équipe hospitalière si nécessaire.
Oui, certains doivent être arrêtés 5 à 7 jours avant, sous surveillance médicale, pour limiter le risque hémorragique.
Oui, chez les patients de plus de 65 ans pour dépister les troubles cognitifs et adapter l’anesthésie.
Oui, pour vérifier l’absence d’infection ou d’inflammation systémique.
Oui, pour limiter le risque infectieux pendant la période préopératoire.
Oui, un test sanguin sensible est réalisé chez toute femme en âge de procréer même sans activité sexuelle récente.
Oui, pour adapter le protocole antalgique pré et postopératoire et prévenir la douleur chronique.
Non, cela pourrait interférer avec la surveillance de votre état pendant l’anesthésie.
Oui, une spirométrie peut être demandée si vous avez des antécédents respiratoires (asthme, BPCO).
Non, à moins qu’il n’y ait un problème auditif connu susceptible de compliquer la communication.
Oui, si vous avez des facteurs de risque, afin de prendre des précautions universelles.
Oui, pour dépister une carence martiale et corriger l’anémie avant la chirurgie.
Oui, pour commencer un travail de renforcement musculaire et de mobilisation avant l’intervention.
Oui, si vous avez une pathologie thyroïdienne auto-immune, un bilan immunologique complet est recommandé.
Des vêtements confortables, articles de toilette, liste de médicaments, documents médicaux et carte d’assurance.
Oui, pour dépister un diabète non diagnostiqué et adapter la prise en charge peropératoire.
Oui, pour évaluer la fragilité, le risque de chute et adapter la prise en charge périopératoire.
Oui, selon les protocoles en vigueur, pour protéger le patient et le personnel soignant.
Oui, pour adapter les médicaments excrétés par voie rénale.
Oui, pour qu’il réalise un bilan et traite tout foyer infectieux dentaire avant l’opération.
Cela dépend du type d’intervention, mais comptez généralement entre 1 et 5 jours.
Oui, un bilan de coagulation (INR, TCA) est réalisé pour minimiser le risque de saignement peropératoire.
Oui, les AINS peuvent altérer la fonction rénale, un test est donc recommandé.
Oui, en cas de dyslipidémie sévère, un contrôle peut être recommandé pour réduire les risques cardiovasculaires.
Oui, en cas de pathologie cardiorespiratoire pour évaluer la tolérance à l’effort.
Oui, un bilan postural permet de cibler les déficits et d’améliorer la récupération fonctionnelle.
En général, vous devez être à jeun 6 à 8 heures avant l’intervention.
Oui, une numération sanguine complète (hémoglobine, plaquettes) est nécessaire pour évaluer votre état général et prévenir l’anémie.
Oui, pour ajuster les médicaments et éviter l’accumulation toxique pendant la convalescence.
Oui, pour réduire le risque d’infection du site opératoire.
Oui, pour prévenir les complications de cicatrisation liées à une neuropathie.
Oui, il peut être prescrit pour ajuster précisément les doses de médicaments néphrotoxiques.
Non, sauf indication spécifique de l’anesthésiste.
Oui, un bilan hépatique (ASAT, ALAT, bilirubine) permet de vérifier que le foie fonctionne correctement avant l’anesthésie.
Oui, un bilan ionique est important pour prévenir les déséquilibres pouvant affecter l’anesthésie.
Oui, pour dépister une malnutrition et la corriger avant la chirurgie.
Oui, chez les patients à risque pour adapter la prise en charge peropératoire.
Oui, si vous en souffrez, il convient d’en informer l’anesthésiste pour adapter la prise en charge.
Oui, après avoir été informé des bénéfices, risques et alternatives.
Oui, un bilan rénal (urée, créatinine) est souvent prescrit pour adapter les médicaments et l’anesthésie.
Non, sauf si vous présentez des pathologies oculaires spécifiques qui pourraient interférer.
Oui, selon les recommandations, un antibiotique peut être administré 30–60 minutes avant l’incision.
Oui, une température normale (36 – 37 °C) limite le risque d’infection et optimise la coagulation.
Oui, en cas de troubles circulatoires périphériques, un doppler peut être demandé.
Vos Questions les Plus Fréquentes (FAQ)
Suivi post-opératoire de la chirurgie du rachis
La marche, les exercices de gainage doux et l’aquathérapie sont souvent recommandés.
Changer régulièrement de position et utiliser un matelas anti-escarres si recommandé.
Uniquement post-6 mois et sous encadrement spécialisé évitant les flexions extrêmes.
Oui, réduire le sel aide à limiter la rétention hydrique pendant la convalescence.
En marchant régulièrement, en portant des bas de contention et, éventuellement, avec une anticoagulation prophylactique.
Non, avant 3 mois, pour ne pas provoquer de flexion latérale excessive.
La récupération varie selon la chirurgie, mais elle s’étale généralement sur 6 à 12 semaines.
Oui, prudemment, avec appui si nécessaire.
Non avant 6 semaines, pour éviter une surchauffe et un risque infectieux.
Radiographies à 3, 6 et 12 mois et, si besoin, un scanner pour évaluer la fusion.
La rééducation débute généralement entre la 4ᵉ et la 6ᵉ semaine postopératoire, selon l’avis de votre chirurgien.
Reprise sédentaire après 6 à 8 semaines, et intense après 3 mois, selon votre profession et votre récupération.
C’est fréquent et lié à la neurotomie ; en général, cela s’atténue avec le temps.
La marche est souvent encouragée dès le lendemain, selon la chirurgie et votre état.
Oui, cela fait partie du processus de cicatrisation.
Oui, pour vérifier l’absence d’anémie ou d’infection.
Oui, un contrôle de la densité osseuse peut être demandé pour surveiller la fusion et l’ostéoporose.
Après 4 à 6 semaines, à condition d’être autonome et de ne plus prendre d’antalgiques forts.
À partir de 8 à 12 semaines, sans résistance, pour limiter la flexion excessive.
Non, les sports à risque de chute sont contre-indiqués pendant au moins un an.
Oui, une douleur modérée peut persister, mais elle doit s’améliorer progressivement.
Entre 3 et 6 mois selon les cas.
Signaler immédiatement, car cela peut indiquer une irritation neurale nécessitant un ajustement thérapeutique.
Hydratation, alimentation riche en fibres et prise d’un laxatif léger si nécessaire.
En moyenne 20 à 30 séances réparties sur 2 à 3 mois, ajustées en fonction de votre progression.
Oui, en piscine (pas en mer) après 8 à 10 semaines, en évitant la brasse initialement.
Jamais avant un an, avec un programme progressif validé par un entraîneur médical.
Fièvre, rougeur, écoulement de la plaie, douleur croissante ou faiblesse soudaine doivent être signalés.
Oui, après 4 à 6 semaines selon votre confort et votre récupération.
Par téléconsultation organisée avec votre secrétariat médical.
Après 12 semaines, en évitant les positions prolongées et en soulevant < 5 kg.
Des exercices de gainage, étirements doux et rotations contrôlées du tronc, sous la supervision de votre kinésithérapeute.
En buvant beaucoup d’eau, consommant des fibres et, si besoin, en prenant un laxatif léger prescrit.
Cela dépend de votre activité. En moyenne, entre 4 et 12 semaines sont nécessaires.
Non avant 3 mois, et toujours léger (< 5 kg) avec un port bi-épaule.
Dès que confortable, souvent après 4 à 6 semaines, en aménageant un poste ergonomique.
Contacter votre chirurgien : cela peut indiquer un léger jeu au niveau des implants.
Oui, la marche est encouragée dès le lendemain de l’opération, à raison de courtes séances plusieurs fois par jour.
Riche en protéines (poisson, œufs), vitamine C (agrumes) et zinc (viande, fruits de mer).
Seulement si cela a été prescrit par votre chirurgien.
Se lever lentement, boire de l’eau et informer votre médecin pour vérifier la pression artérielle.
Techniques de relaxation, accompagnement psychologique et exercices doux de respiration.
Oui, après 3 à 6 mois, pour traiter des douleurs résiduelles, selon l’avis médical.
Oui, à partir de 6 à 8 semaines, selon votre confort et l’absence de contre-indication médicale.
Contacter immédiatement votre chirurgien pour exclure une complication neurologique ou vasculaire.
Généralement entre 2 et 6 semaines, à condition d’être autonome et sans analgésiques forts.
Oui, en cas de faiblesse initiale, sous prescription et guidance de votre équipe soignante.
Oui, une tension stable réduit le risque d’hématome postopératoire.
Après accord du chirurgien, débuter par des activités sans impact (natation, vélo) avant la course.
Sur le dos, bras le long du corps, avec un oreiller sous les genoux, ou sur le côté en position fœtale.
Pas plus de 2 à 3 kg pendant les 6 premières semaines, puis progressivement jusqu’à 5 kg.
Oui, la rééducation est souvent recommandée dès la 4e ou 6e semaine.
Avec des tests de dynamométrie ou des évaluations fonctionnelles réalisées par votre kiné.
Non, il est conseillé de porter des chaussures plates et stables pendant 3 à 6 mois.
Réaliser des exercices isométriques légers et maintenir un apport protéique adéquat.
Nettoyez quotidiennement à l’eau savonneuse, séchez délicatement et surveillez toute rougeur ou écoulement.
Douleur mécanique croissante à l’effort, « blocage » ou craquements répétés, à signaler rapidement.
Oui, surtout si un nerf était comprimé. Elle disparaît souvent progressivement.
Oui, surtout si vous êtes à risque d’ostéoporose, pour prévenir des fractures voisines.
Non avant 12 semaines, afin de ne pas solliciter excessivement votre dos.
Oui, après retrait des points, avec un gel cicatrisant, pour assouplir les adhérences.
Fièvre > 38 °C, rougeur, chaleur, écoulement purulent ou douleur croissante autour de la plaie.
Oui, en cas de douleur persistante à 6 mois, une imagerie sera réalisée pour vérifier la fusion.
Environ 10 à 14 jours après la chirurgie.
Signaler à votre kiné pour adapter le programme d’étirements et de mobilisations.
Oui, en cas de dépression ou d’angoisse, pour un accompagnement adapté.
Oui, en cas de bourrelets ou démangeaisons persistantes, consultez pour un traitement précoce.
Entre 10 et 14 jours postopératoires, selon les instructions de votre chirurgien.
Attendre 3 mois avant tout acte invasif, pour réduire le risque d’infection à distance.
Oui, avec un coussin sous les genoux pour réduire la tension lombaire.
Oui, avec un instructeur formé à la rééducation postopératoire rachidienne.
Contacter en urgence votre chirurgien ou neurologue pour éliminer une complication neurologique.
Après 8 à 12 semaines, en piscine propre et sous surveillance d’un kinésithérapeute.
Seulement si votre chirurgien le prescrit, généralement pendant 4 à 6 semaines.
Idéalement attendre 6 semaines pour les vols courts, et 3 mois pour les longs courriers.
Des analgésiques, parfois des anti-inflammatoires ou anticoagulants. Suivez l’ordonnance.
Après 12 semaines et en eau propre, pour éviter toute infection.
Seulement si votre cardiologue ou votre chirurgien l’a validé, pour limiter les saignements.
Contacter le chirurgien immédiatement pour éliminer une infection du site opératoire ou autre foyer.
Avec des anti-épileptiques (gabapentine) ou antidépresseurs tricycliques, si prescrits par votre médecin.
Jamais avant un an et uniquement avec accord du chirurgien et protection adaptée.
Oui, une consultation est généralement prévue entre 4 et 6 semaines après.
Oui, un bon contrôle glycémique est crucial pour la cicatrisation.
Après au moins 6 mois, avec reprise progressive et sans douleur.
Élévation des jambes, bas de contention, marche régulière et contrôle de la diurèse.
Seulement si votre chirurgien l’a autorisé, car ils peuvent ralentir la fusion osseuse.
Vérifier votre posture, opter pour des modèles confortables et consulter un podologue si nécessaire.
Après validation du chirurgien, généralement 10 à 15 jours plus tard.
Uniquement sur prescription en cas de douleur persistante ou anomalie aux radiographies.
Maintenir une bonne posture, faire du renforcement musculaire et éviter la sédentarité.
Non avant 3 mois, pour éviter une vasodilatation excessive et un risque infectieux.
Consultations à 6 semaines, 3 mois, 6 mois puis un an après l’opération.
Après 6 à 9 mois, en commençant par des mouvements doux et sans torsion violente.
Oui, mais progressivement. Les sports sans impact peuvent être repris après 2 à 3 mois.
Oui, en commençant par des swings très doux et sans torsion excessive du buste.
Non, toute modification de traitement doit être validée par votre médecin.
En général après 6 à 8 semaines, selon votre confort et sans positions forcées.
Oui, une radiographie de face et profil est faite à 3 et 12 mois pour vérifier la consolidation.
Traitement par gabapentinoïdes, vitamine B, et neurostimulation selon prescription.