Préparation rigoureuse : Votre sécurité, notre priorité absolue
Chez SOS Tourisme Médical, la sécurité de nos patients est au cœur de toutes nos actions. Avant même que vous ne songiez à franchir l'Atlantique, une préparation rigoureuse est mise en place pour garantir le succès de votre chirurgie du dos et votre bien-être général. Nous ne laissons rien au hasard.
Une équipe pluridisciplinaire dédiée à votre sécurité
Notre force réside dans la collaboration étroite d'une équipe pluridisciplinaire et hautement qualifiée. Elle comprend des médecins expérimentés, des infirmières qualifiées et des spécialistes qui œuvrent de concert à chaque étape de votre parcours.
Ensemble, ils s'assurent que tous les examens préopératoires sont effectués méticuleusement pour chaque patient. Cela inclut une revue exhaustive de votre dossier médical, l'analyse de vos imageries (IRM, scanners), et la réalisation de tous les tests nécessaires pour évaluer précisément votre état de santé et identifier le traitement le plus sûr et le plus efficace.
Une approche fondamentale pour votre chirurgie du dos
Cette approche rigoureuse est fondamentale pour assurer la sécurité maximale de nos patients. Il ne s'agit pas seulement de l'intervention en elle-même, mais de l'ensemble de votre expérience :
- Avant la chirurgie de la colonne vertébrale : Une préparation impeccable réduit les risques et optimise les conditions de l'opération.
- Pendant l'intervention : Les informations précises recueillies en amont permettent au chirurgien de travailler avec une connaissance parfaite de votre anatomie et de vos particularités.
- Après l'opération : Un suivi adapté et personnalisé, basé sur cette préparation, favorise une récupération rapide et sans complication.
Nous mettons tout en œuvre pour que votre chirurgie du dos se déroule dans les meilleures conditions de sécurité, vous offrant ainsi la tranquillité d'esprit que vous méritez.
Avez-vous des questions sur les étapes de préparation ou sur l'équipe qui vous accompagnera ?
✅ Checklist « Prêt pour le départ ? »
(copiez-collez telle quelle ; chaque puce est un élément à cocher)
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Dossier médical complet : IRM/CT ≤ 12 mois + radios dynamiques
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Résumés cliniques (médecin, thérapeutes, médication actuelle)
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Questionnaires fonctionnels (ODI / NDI / VAS) remplis en ligne
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Bilan sanguin & ECG réalisés ≤ 30 jours avant l'intervention
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Autorisation d'assurance-voyage médicale (complications & rapatriement)
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Vols & hébergement confirmés (navette aéroport réservée)
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Accompagnateur informé du programme et des dates clés
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Programme pré-habilitation commencé (marche, nutrition, sevrage tabac)
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Trousse post-op prête : coussin lombaire, bas de contention, clé USB dossier
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Questions restantes listées pour la téléconsultation finale
Encadré « Passez à l'action ! »
(à encadrer visuellement si souhaité ; liens cliquables déjà intégrés)
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Courriel direct : [email protected]
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Vos Questions les Plus Fréquentes (faq)
Évaluation pré-opératoire à la chirurgie du rachis
Oui, votre équipe médicale vous prescrira une prise de sang, un ECG, et parfois un bilan respiratoire ou cardiaque selon votre état de santé.
Oui, une imagerie récente est essentielle pour planifier la chirurgie.
Oui, surtout si vous avez plus de 40 ans ou des antécédents cardiaques.
Oui, une consultation d'anesthésie est obligatoire pour évaluer les risques et adapter l'anesthésie.
Certains médicaments doivent être arrêtés. Suivez les indications de l'anesthésiste.
Oui, arrêter de fumer réduit les risques de complications et favorise une meilleure cicatrisation.
Oui, il est recommandé d'éviter l'alcool dans les jours précédant la chirurgie.
Vous devez vous laver avec un savon antiseptique la veille et le matin de l'intervention.
Non, ne vous rasez pas. Cela sera fait de façon sécuritaire par l'équipe hospitalière si nécessaire.
Non, cela pourrait interférer avec la surveillance de votre état pendant l'anesthésie.
Des vêtements confortables, articles de toilette, liste de médicaments, documents médicaux et carte d'assurance.
Cela dépend du type d'intervention, mais comptez généralement entre 1 et 5 jours.
En général, vous devez être à jeun 6 à 8 heures avant l'intervention.
Non, sauf indication spécifique de l'anesthésiste.
Oui, après avoir été informé des bénéfices, risques et alternatives.
Oui, surtout si vous êtes opéré en ambulatoire.
Oui, mais prudemment et selon les instructions du personnel médical.
Faire de l'exercice doux peut améliorer votre récupération postopératoire.
Oui, c'est une réaction naturelle. Parlez-en à l'équipe soignante.
Oui, il faut informer immédiatement votre équipe médicale pour reporter l'intervention.
Oui, en cas d'apnée du sommeil, une prise en charge spécifique est nécessaire (CPAP, surveillance postopératoire).
Oui, pour corriger d'éventuelles carences et optimiser votre statut nutritionnel pour la cicatrisation.
Oui, certains compléments (ail, ginkgo, ginseng) peuvent interagir avec l'anesthésie et altérer la coagulation.
Oui, un examen dentaire permet de prévenir les complications infectieuses liées à des foyers dentaires.
Oui, certains doivent être arrêtés 5 à 7 jours avant, sous surveillance médicale, pour limiter le risque hémorragique.
Oui, une spirométrie peut être demandée si vous avez des antécédents respiratoires (asthme, BPCO).
Oui, pour dépister un diabète non diagnostiqué et adapter la prise en charge peropératoire.
Oui, un bilan de coagulation (INR, TCA) est réalisé pour minimiser le risque de saignement peropératoire.
Oui, une numération sanguine complète (hémoglobine, plaquettes) est nécessaire pour évaluer votre état général et prévenir l'anémie.
Oui, un bilan hépatique (ASAT, ALAT, bilirubine) permet de vérifier que le foie fonctionne correctement avant l'anesthésie.
Oui, un bilan rénal (urée, créatinine) est souvent prescrit pour adapter les médicaments et l'anesthésie.
Oui, si vous avez des symptômes urinaires, un ECBU est réalisé pour traiter une infection avant la chirurgie.
Oui, un dépistage peut être proposé pour adapter les précautions universelles et la gestion peropératoire.
Oui, un T-score permet d'évaluer la densité osseuse et de prévoir la fixation des implants.
Oui, pour réduire le risque de complication respiratoire postopératoire, les vaccinations doivent être à jour.
Non systématiquement, sauf si vous avez des antécédents d'allergie à un anesthésique.
Oui, en cas de pathologie thyroïdienne connue, un bilan TSH, T3, T4 permet d'ajuster le traitement.
Oui, si vous avez des antécédents cardiaques ou plus de 50 ans, un bilan cardiologique (échocardiographie, épreuve d'effort) peut être demandé.
Oui, un dépistage nasal peut être fait pour diminuer le risque d'infection du site opératoire.
Oui, un bilan psychologique est parfois proposé pour évaluer la capacité à gérer la douleur et l'anxiété.
Oui, chez les patients de plus de 65 ans pour dépister les troubles cognitifs et adapter l'anesthésie.
Non, à moins qu'il n'y ait un problème auditif connu susceptible de compliquer la communication.
Oui, pour évaluer la fragilité, le risque de chute et adapter la prise en charge périopératoire.
Oui, les AINS peuvent altérer la fonction rénale, un test est donc recommandé.
Oui, pour ajuster les médicaments et éviter l'accumulation toxique pendant la convalescence.
Oui, un bilan ionique est important pour prévenir les déséquilibres pouvant affecter l'anesthésie.
Non, sauf si vous présentez des pathologies oculaires spécifiques qui pourraient interférer.
Oui, pour s'assurer de l'absence d'infection active et reporter la chirurgie si nécessaire.
Non routinièrement, seulement si des anomalies biologiques le suggèrent.
Oui, pour optimiser le contrôle glycémique et réduire le risque de complications infectieuses.
Oui, chez les femmes en âge de procréer pour éviter tout risque teratogène.
Oui, si vous êtes sous corticothérapie prolongée, un bilan est nécessaire pour prévenir l'insuffisance surrénalienne.
Oui, pour éviter que des lésions actives ne contaminent le site opératoire.
Oui, en cas de difficultés respiratoires ou anatomiques prévues.
Oui, une pression artérielle stable est essentielle pour minimiser les risques peropératoires.
Oui, pour s'assurer que la fonction thyroïdienne est équilibrée.
Oui, pour vérifier l'absence d'infection ou d'inflammation systémique.
Oui, si vous avez des facteurs de risque, afin de prendre des précautions universelles.
Oui, selon les protocoles en vigueur, pour protéger le patient et le personnel soignant.
Oui, en cas de dyslipidémie sévère, un contrôle peut être recommandé pour réduire les risques cardiovasculaires.
Oui, pour réduire le risque d'infection du site opératoire.
Oui, pour dépister une malnutrition et la corriger avant la chirurgie.
Oui, selon les recommandations, un antibiotique peut être administré 30–60 minutes avant l'incision.
Non systématiquement, sauf en cas d'immunodépression connue.
Oui, si votre dernier rappel date de plus de 10 ans.
Oui, une spirométrie est souvent prescrite pour ajuster l'anesthésie en cas de BPCO.
Oui, un test 72 h avant et parfois un rappel le jour même selon le protocole local.
Oui, pour évaluer la fonction cognitive et le risque de confusion postopératoire.
Non routinièrement, seulement si des facteurs de risque sont identifiés.
Oui, un état d'hydratation optimal est essentiel pour la stabilité hémodynamique.
Non systématiquement, sauf en cas de symptomatologie évocatrice de pancréatite.
Non, sauf si des antécédents gastro-intestinaux le nécessitent.
Oui, pour limiter le risque infectieux pendant la période préopératoire.
Oui, pour dépister une carence martiale et corriger l'anémie avant la chirurgie.
Oui, pour adapter les médicaments excrétés par voie rénale.
Oui, en cas de pathologie cardiorespiratoire pour évaluer la tolérance à l'effort.
Oui, pour prévenir les complications de cicatrisation liées à une neuropathie.
Oui, chez les patients à risque pour adapter la prise en charge peropératoire.
Oui, une température normale (36 – 37 °C) limite le risque d'infection et optimise la coagulation.
Non obligatoire, mais une évaluation ostéopathique peut aider à optimiser l'alignement rachidien préopératoire.
Oui, si vous avez présenté des symptômes ou un historique de morsure de tique.
Oui, pour adapter le protocole analgésique postopératoire et prévenir la douleur chronique.
Oui, car une anémie préopératoire augmente le risque de transfusion et retarde la cicatrisation.
Oui, pour éviter une répétition inutile des tests si vous en avez déjà réalisés.
Oui, en cas d'antécédents familiaux de troubles de la coagulation.
Oui, pour prévenir les risques d'aspiration lors de l'anesthésie générale.
Oui, de nombreuses équipes proposent un cours d'éducation pour expliquer le déroulement, la gestion de la douleur et les exercices post-opératoires.
Oui, un questionnaire (ODI, SF-36) permet d'évaluer votre état fonctionnel et de mesurer l'impact de la chirurgie.
Oui, un test sanguin sensible est réalisé chez toute femme en âge de procréer même sans activité sexuelle récente.
Oui, pour commencer un travail de renforcement musculaire et de mobilisation avant l'intervention.
Oui, pour qu'il réalise un bilan et traite tout foyer infectieux dentaire avant l'opération.
Oui, un bilan postural permet de cibler les déficits et d'améliorer la récupération fonctionnelle.
Oui, il peut être prescrit pour ajuster précisément les doses de médicaments néphrotoxiques.
Oui, si vous en souffrez, il convient d'en informer l'anesthésiste pour adapter la prise en charge.
Oui, en cas de troubles circulatoires périphériques, un doppler peut être demandé.
Oui, pour ajuster le suivi et réduire le risque de complications postopératoires.
Oui, si vous avez des antécédents allergiques, un bilan spécifique est réalisé pour éviter tout choc anaphylactique.
Oui, un bilan ORL est parfois nécessaire pour planifier l'intubation et éviter les complications.
Oui, il peut être prescrit pour dépister un diabète de type 2 non diagnostiqué.
Oui, chez les patients à risque, un soutien psychologique préopératoire aide à prévenir l'instabilité émotionnelle.
Oui, en cas de symptômes urinaires, un bilan urodynamique est nécessaire pour planifier la prise en charge postopératoire.
Oui, pour corriger tout état de dénutrition et favoriser une bonne cicatrisation.
Oui, un bilan hépatique complet peut être prescrit pour détecter des anomalies rares mais significatives.
Oui, pour préparer votre domicile et identifier les aides techniques nécessaires au retour à domicile.
Oui, pour adapter le protocole antalgique pré et postopératoire et prévenir la douleur chronique.
Oui, si vous avez une pathologie thyroïdienne auto-immune, un bilan immunologique complet est recommandé.